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                                    attention
interdit aux moins de 16 ans. certain propos peuvent choqué les plus jeune1891160297 small 1
vous etez sur un blog de fic où les personnage principaux sont homosexuel. si ce jors ne vous plait pas passé votre chemin. pour ce que sa intéresse laisser des commentaires. ça fait toujours plaisir d'être encourager.
 si vous vouliez être prevenu des parution d'article incrivez vous à la newletter. bisous à tous
Dimanche 6 juin 7 06 /06 /Juin 09:44

mauvaise nouvelle. aprés des problème avec mon ordi qui voulait plus ce connecté à internet ( problème résolut). à present je ne vais plus avoir d'internet à partir de demain. snif. mais ce n'es pas pour autant que je ne posterait plus rien. dés que je pourait je posterais encore plus de chapitre. voila. je posterais sans doute quelque chose dans l'aprés midi. la je doit partir au taf. bisous à toutes.

Par Amako - Publié dans : blabla
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Dimanche 23 mai 7 23 /05 /Mai 14:27

CHAPITRE 12 :

 

 

« J’avais été réveillé par des voix, encore une fois j’avais échoué. J’étais toujours vivant. Même la mort me refusais l’entré. Étais-je condamné à souffrir pour le restant de mes jours. Je n’étais pas sur de la où j’étais, mon poigner me faisait mal. Il avait était bander. Est-ce que c’était Tenshi qui l’avait fait ? Il devait me détesté après ce qu’il avait vue. Il devait me trouver méprisable. J’aurais voulut qu’il me sache jamais ce que je suis. J’aurais préférer qu’il ne reste qu’un mirage, qu’un espoir. J’aurais préférer ne jamais le revoir. Vivre juste avec un merveilleux souvenir. Mais le rêve avait eu une fin plus que brutale. Remplacer par un cauchemar qui ne faisait que commencer. »

 

 

 

 

- Il est as bout de force Andy. Il ne peut plus marcher. Il ne va pas pouvoir supporter ses mauvais traitements encore longtemps. Il a perdu tellement de poids et il était totalement déchirait. Merde qu’est-ce que vous lui avait faite ?

Non je t’en supplie ne lui demande pas, je ne veux pas que tu le sache. S’il te plait Andy ne lui dit pas. Je suis déjà tellement bas dans son estime.

- Une petite orgie. Il a adoré ça. Il n’arrêtait pas d’en redemandait. T’aurait du le voir j’agitais…

- Il ne teindra plus très longtemps.

- Si je ne peux plus le baiser j’ai autant quitte à le foutre à la porte et de me trouver un nouveau jouet. Je savais que cette petite pute allé me posait des problèmes.

Me mettre dehors, ce trouvait un nouveau jouet, non je ne le permettrais pas. Je ne voulais pas, je ne pouvais plus vivre sans lui. Je m’arrachais d’entre les couvertures, serrant les dents sous la douleur. J’étais désespérait, et je me détestais d’être ainsi. J’ouvrir la porte sous leurs regards étonnés. Je baissais le têt devant ton regard perdu, je n’arrivais pas à te regarder en face. Pardonne-moi d’être aussi faible.

- S’il vous plait maitre ne me jetais pas dehors. Je…je peux encore vous servir. Je…je ferais tous ce que vous voudriez.

Il m’attrapait par les cheveux avec force m’attirant contre lui, jetant u regard provocateur à son frère.

- Tu as vue il ne demande que cela. Il n’est bon qu’as cela.

- Jaylan…

- S’il vous plait une chienne as besoin d’un maitre. Alors baiser moi autant que vous voulez.

- Jaylan, tu ne peux pas. Tu dois te reposait.

- Je sers à ça. Je lui appartient.

Andy me plaquait avec force contre le mur me soulevant, m’arrachant mon boxer et me pénétrait sans plus attendre. Me faisant crier de douleur alors que mes larmes couler sur mes joues. J’avais tellement mal, mais je n’avais pas le droit de me plaindre. J’était le seul responsable de ce qui m’arriver. Déteste moi Tenshi car tu ne peut pas m’aider. Car je ne pourrais que te détruire. Part loin de moi. Mais tu restait la à le regarder faire, totalement paralysé sous la surprise. Connaissait tu se côte de ton frère. Tu semblais revivre un moment difficile, je voyais ton corps tremblais et ton regard terrorisé. J’aurais voulut venir t’aider. Te serrait avec force dans mes bras mais je rester la à me faire baiser par cette homme horrible que j’aimais à en devenir fou. Je le sentis jouir en moi, je n’avais pas prit le moindre plaisir durant cette acte, qui aurait dû être un moment d’amour. Il ce retirait me laissant tomber sur le sol. Je me sentais encore plus sal.

- Tu as vu Tenshi. Ce n’est qu’une chienne. Je sors baise le si tu le veux. Je te le laisse. N’importe qu’elle queue lui convient.

 

Pourquoi es tu restais ? Tu aurais du fuir en voyant à quel point j’étais un être méprisable et sale. Où est-ce que toi aussi tu voulais en profitait. Je n’arrivais pas à levais la tête. Je n’arrivais pas à te regarder.

Je sursautais lorsque je sentais deux bras s’enroulaient autour de mon coup. Je savais que ce n’étais pas Andy. Mais ce que je me savais pas c’été pourquoi tu continuais à t’occuper de moi. Je ne fis rien pour t’empêchais de me portait jusqu’à ma chambre. Tu me déposais doucement sur le lit. Et tu re-sortait aussi tôt. C’était moi qui lui avais demandé de le faire. Mais pas devant lui, pas comme cela.

Je croyais que tu étais partis, que j’allais de nouveau être seul mais j’entendais tes pas dans le couloir, je sentais ta présence dans la chambre. Je me figeais en te sentant t’assoir sur mes jambes. Et j’eu un haut de cœur. J’en étais sur tu été comme ton frère. Tu aller te servir de moi. Et j’allais te laisser faire. Je sentais un de tes doigts caressait mon anneaux rendu douloureux par les mauvais traitements de ton frère. J’étais tétanisé par la peur. Crisper de douleur. Mais s’il voulait me baiser j’allais le laisser faire car je ne voulais pas décevoir mon amour.

Je sentais ton doigts glisser en moi, il était glacer. Je sentais ton souffle dans ma nuque et sa m’apaiser. Je crois que je te faisais confiance. Tu continuais de faire bouger ton doigt en moi alors que tes lèvres glissaient dans ma nuque. Tu es en train d’essayer de me rendre fou.

- je ne veux pas te baiser Jaylan. Je ne veux pas te faire de mal. Je ne suis pas Andy.

- Je suis sa chienne.

- Non.

- Si. Et toi tu n’éprouve que de la pitié pour moi.

- Pourquoi est-ce que tu te mutile Jaylan.

- Pour oublier l’enfer de ma vie. Pour me prouvais que mon corps m’appartient encore. Pour me prouvais que je suis vivant.

- c’est douloureux. Murmurais-tu en continuant de bouger dans doigts en moi.

- Oui. Mais sa me soulage un peu. Merci

Tu retirais ton doigt et te laissais tomber à mes côtés. Je n’arrivais pas à te regarder. Je ne voulais pas voir la pitié où le reproche dans ton regard. Je sentais la couverture que tu venais de remontait sur mon corps nue m’entourait d’une douce chaleur. Je me retournais dos à toi, et tu venais te coller à moi m’entourant de tes bras. Et je n’eu pas la force de te repousser, parce que je me sentais tellement bien dans tes bras. Je me sentais apaiser.

- Arrête.

- Ce n’est pas de la pitié Jaylan.

- Alors qu’Est-ce que sa signifie.

- Je crois que c’est parce que je t’aime bien. Je t’aime beaucoup même.

-…

Je ne savais pas quoi répondre à cela. Tu venais de me dire que tu m’aimais bien alors que je me déteste. Pourquoi ne voyait-il pas que je n’étais qu’un nuisible, que m’approcher était dangereux. Mais malgré tout ça je ne pouvais empêcher mon cœur de s’emballait à ses mots. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas ressenti une telle chaleur. Un tel bien être.

- Pourquoi accepter tout cela Jaylan ?

- Parce que je l’aime.

Je sentais ton étreinte ce raffermir autour de moi. Alors que ta tête venait ce glissé dans le creux de mon cou. Alors que tu murmurais un simple « d’accord ». Et le silence s’installait. Il n’était en rien pesant, juste apaisant.

 

 

« Ta présence à mes côtés m’apaiser. Tu réussissais à faire ce que jamais personne n’avais réussi à faire avec moi. Ton corps contre le mien réchauffé mon cœur gelé. Ton souffle calmé la douleur de mes cicatrices. Tu étais resté à mes côtes sans chercher à en savoir plus. A cette instant dans tes bras je ne penser plus à rien. Je savais que lorsque Andy aller revenir, j’allais à nouveau sombrer dans ses ténèbres glacer. Mais je voulais encore pouvoir profiter de ta chaleur, de ton rayonnement. J’avais fini par m’endormir entre tes bras ne pensant plus à rien. Aide-moi à tout oublier. »

 

 

 

et voila la suite elle et pas trés longue mais bon c'est mieux que rien. faut que je trouve la temps de taper la suite. bisous à toutes.

Quelle heure pouvait-il bien être. J’avais la sensation d’avoir dormir des jours durant. Tenshi n’était pas à mes côtés est-ce que j’avais rêvé ce qui c’était passé. Lorsque je dormais j’avais la sensation qu’il était à mes côtes, j’entendais sa douce voix me murmurais de doux mots, alors que se doigts caressait mes cheveux mon visage. Mais cela n’était qu’un rêve. J’entendais des voix dans le couloir. Celle d’Andy et de Tenshi alors il était vraiment ici. Je sursautais lorsqu’il élevait la voix.
Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Mercredi 19 mai 3 19 /05 /Mai 09:22

voila le chap 11. j'avais promit de le posté hier mais j'ai pas eu le temps. mea culpa. donc bonne lecture.

 

 

CHAPITRE 11 :

 

 

 

« Deux mois était passé depuis que j’étais prisonnier de ses chaines qu’il avait enroulé autour de moi pour m’étouffer. Huit semaines de cauchemar, cinquante-six jours d’enfer. Je continuais à me scarifier, en me mangeant que lorsqu’il me forçait. Je n’étais plus qu’un spectre, ensuit transparent qu’un mort. Bientôt il sera fatigué de moi et il me jettera. Et je n’aurais plus qu’as me laisser mourir. Hier soir il avait encore jouet avec moi. Et je n’avais jamais eu aussi mal de ma vie. Il n’avait fait descendre alors qu’il était avec tous ses amis. J’avais bu un drôle de boisson. Et j’ai compris bien trop tard ce qu’il n’avait fait avaler. C’était un aphrodisiaque. Sa l’avait bien fait rire. Il n’avait forçait à le supplier, de lui dire que j’avais envie d’être leurs chiennes. Et je l’avais fait. J’étais bien trop faible. J’avais fait tout ce qu’il m’avait demandait. Et j’avais fini par perdre connaissance. J’avais pleuré durant tout les temps que cela avait duré. Mais il n’avait rien fait pour cesser ce cauchemar. Croyez vous que je puisse tomber encore plus bas dans ma déchéance. »

 

 

 

J’ai eu bien du mal à me lever le lendemain. J’avais terriblement mal à la tête. Je ne sentais plus mon corps. J’étais allongé sur le sol du salon. J’avais mal comme jamais je n’avais eu mal. Il n’avait même pas prit la peine m’allonger sur le canapé, ni de me couvrir. J’étais sa chienne, je mérité de mourir la gueule ouverte. Il m’avait laissé la où était ma place, les traces de mes actes sur le corps. Je me sentais tellement sal, répugnant. J’essayais de toutes mes force de me mettre debout mais je ni arriver pas, mon corps refusais de m’écouter.

- Tu es enfin réveiller.

Je frissonnais en entendant sa voix si froide. Je lui tournais le dos mais je savais qu’il me regardait avec son habituel froideur et ce sourire narquois que je détestais tant. J’aurais voulut lui demandais de m’aidé mais les mots rester coincer dans ma gorge. Il venait s’agenouiller devant moi, me forçant à relever la tête. Son regard était toujours aussi froid, et il souriait avec ce sourire que je déteste tant. Il faisait glisser ses doigts sur ma joue avec douceur me faisant tremblais. Ses mains étaient si douces. Pourquoi ce jouait-il autant de moi ? Quelle plaisir prenait-il as me voire souffrir ?

- C’était vraiment super hier soir. Tu as vraiment bien joué ton rôle. On remettra ça. T’était déchainé. Les aphrodisiaque sa te rend encore plus sexy. Je dois aller travailler. Ne fait pas de bêtises pendant mon absence.

Je n’arrivais même pas à ouvrir la bouche pour lui répondre, à quoi bon ? Il n’en avait rien à faire de ceux que je pouvais ressentir. Il approchait doucement son visage de moi, j’amusant de me voire perdre la tête devant lui. Juste de sentir son souffle contre les lèvres me rendait fou, je fermais les yeux attendant un contact. Un contact qui ne venait jamais. Il s’éloignait de moi en rigolant. Mon cœur me faisait tellement mal que j’en oublier la douleur de mon corps. Je me mis à tremblais de froid, de douleur. J’essayais à nouveau de me relever, mais j’en étais incapable. J’allais rester la toute la journée sans pouvoir bouger. C’était tout ce que je mérité. J’essayais encore de me relevais mais encore une fois ce fut un échec. J’entendais la porte s’ouvrir et ce refermais. Il devait avoir oublié quelque chose. Je pris appuie sur le canapé pour essayer de me relevais, je tombais une nouvelle fois criant de douleur. J’entendais les pas ce faire plus rapides, je t’entais encore de me relevais et alors que je prenais appuis sur le canapé pour me redresser je me figeais horrifier lorsque je te vis debout dans l’encadrement de la porte. M’importe qui mais pas toi. Pourquoi fallait-il que nos chemin ce croise à nouveau dans un tel moment ?

Tu semblais plus beau que jamais. J’essayais de me dérobé à ton regard. Je me recroqueviller à nouveau sur le sol alors que mes pleures redoublait à mesure que tu t’approchais de moi. Je paniquais tellement à l’idée que tu me déteste encore plus de me voire ainsi. Je n’arrivais plus a respirait, ma gorge était en feu. Tout comme mes poumons. Je t’entendais m’appeler mais je n’arrivais pas à te répondre. Ta voix semblait désespérait. Mais je ne pouvais rien faire pour te rassurait. Et je me sentis sombrais dans les ténèbres. Je priais pour ne plus jamais me réveiller. Je voulais tellement mourir avec pour dernière vision celle de ton doux visage.

 

 

Lorsque je ré-ouvrir les yeux la lumière du jour me bruler les rétines. Et un mal de crâne des plus désagréables me prit. Je n’étais donc pas encore mort. J’avais mal, mon corps était tellement douloureux. Je tournais la tête et fut pris d’un haut de cœur lorsque je te vis. Assit à mes côtes ma fixant avec peine. Je ne veux pas de ta pitié. Je me veux pas t’inspirais ce seul sentiment. Je voulais temps que tu me regard avec douceur, avec amour. Pas avec ce regard emplis de condescendance. Pourquoi fallait-il toujours que tu me vois toujours dans des états si pathétiques ?

- Jaylan.

Pourquoi mon nom sortant de ta bouche était-il si doux ? Pourquoi ta voix me faisait-elle tremblais ? Pourquoi me déstabilisais-tu autant ?

- Jaylan. Ta voix était si douce, comme la caresse d’une douce brise d’été. Agréable, rafraîchissante. Je sentais tes doigts frôlais doucement mon avant bras me faisant tremblais encore plus. Ils étaient tellement doux, aussi frais que la rosé matinal. Je ne méritais pas que quelqu’un comme toi s’intéresse à moi. Je suis tellement insignifiant.

- Jaylan. J’ai eu si peur. Que c’est-il passé, que t’a-t-il fait ?

- …

- Jaylan répond moi s’il te plait.

J’essayais de nouveau de me redressais, c’était tellement douloureux. Je tombais sur le sol étouffant un cri de douleur. Mes jambes ne répondaient plus, elles étaient incapables de me porter. Pourquoi fallait-il que je me rende encore plus pitoyable. Tu dois avoir une très mauvaise impression de moi. Tu voulais venir m’aider à me redresser mais je te repoussais sans voire ton regard blessé. Mais je ne voulais pas de ta pitié parce qu’elle me blesser plus encore. Alors je me trainer seul, te repoussant à chaque fois que tu voulais me portait ton aide. Te blessant un peu plus à chaque fois. Tu devrais partir, t’éloigner de moi. Pourquoi perdre ton temps à veiller sur un mort en sursis. Je réussis temps bien que mal à entré dans la baignoire et à faire couler l’eau. Je n’avais allumé que l’eau froide, mais très vite tu allumais l’eau chaude. Tu t’était laisser tomber à mes côtes me suppliant de te dire ce qui c’était passé. Mais je gardais le silence.

 

 

«  Après cela j’étais sur que plus jamais tu me voudrais me voire. J’ai fait couler mon sang devant toi, j’ai vue ton regard horrifier avant de sombré dans les ténèbres priant pour que cela soit la dernière fois. Je n’avais plus l’espoir qu’un jour tu puis me sortir de ses ténèbres. Je lui appartenais, il avait sus m’enchainer à lui. Et il serrait le responsable de ma mort. Alors s’il te plait part loin de moi. Avant que je ne sois celui qui t’enfoncerais dans les ténèbres. »

 

 

 

et voila j'espère que cette petite suite vous aura plus .bisous à toutes.

Par Amako - Publié dans : reste ma lumière (en cours )
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Lundi 17 mai 1 17 /05 /Mai 22:07

sa fait une semaine que j'ai rien posté. sa fait long. mais j'étais en vacance et j'ai passé une semaine sans internet mais demain promit je poste un suite, j'ai pas décidé encore. les vacance sont fini et demain faut retourné au travail j'ai trop les boules. en plus j'vais demander à mon patron de me faire reprendre que mardi soir mais il as pas voulut. je bosse demn midi et pas demain soir. et encore j'ai put négocier un peu. je devais reprendre ce midi normalement et être de repos ce soir et demain. j'ai au moins réussit à prolonger mes vacance d'une journée. voila les nouvelle. bisous à toutes.

Par Amako - Publié dans : blabla
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Samedi 8 mai 6 08 /05 /Mai 22:36

 

 

 

CHAPITRE 42 :

 

 

 pov Jackson

L’air était lourd, étouffant, pas u brin d’air ne venait calmer notre peur. La lune était absente de ce ciel tout comme les étoiles. Elles étaient voilées par des nuages menaçant. C’était une nuit parfait pour ce que nous allions faire. Tout était prés. Mes hommes étaient en position prés à attaqué. De la où j’étais j’avais une vue imprenable sur leurs feu de camps. Gus le rouge était assit au milieu de tout ses hommes. À savourait un bon rhum. Un jeune homme était assit à ses côtés, je ne l’avais encore jamais vue mais j’étais sur que c’était Shawn. Il lui ressemblait tellement.

Je me retournais vers mon meilleur ami, il était tendu comme jamais encore je ne l’avais vue tendu. Il allait enfin pouvoir retrouvait Shawn, même si c’était pour le reperdre par la suite. Et par la même occasion il allait voir mourir ce monstre. J’allais le tuer de mes mains. Pour être sur qu’il me fera plus jamais de mal à une autre âme innocente.

- On va y arriver Milan. En as la surprise de notre côté.

- N’As-tu pas peur Jackson ?

- La seule chose qui peut me faire peur c’est qu’il t’arrive quelque chose. Alors oui j’ai un peu peur. Mais on ne peut plus faire demi-tour. Je vais tuer cette homme pour ceux qu’il ta fait. Pour ceux qu’il lui a faits. Pour ceux qu’il nous a faits.

 

La nuit aller être sanglante et teintera le ciel en rouge.

 

 

La bataille faisait rage. Les coups pleuvaient. Je faisais face à ce monstre. Il était fort incroyablement fort. Mais je devais être bien plus fort que lui. La lune c’était enfin montré. Comme si elle voulait assister à notre combat. Elle en serrait le témoin. Le juge impartial. Il évita un de mes attaques et lorsque je me retournai je le vit foncer vers Adrien et son frère. Et je pris peur. Je ne voulais pas le perdre. Je préférais mourir que le voir mourir. Je préférais encore le voir partir loin de moi. Je m’interposais entre lui et l’homme que j’aimer. Je vais tuer cette homme, je vais lui faire regrettait tout le mal qui as fait. Je vais enfoncer ma lame dans son cœur et je vais le regardait agoniser lentement. Je vais recueillir son dernier souffle.

- Ne te trompe pas d’adversaire. Je suis celui qui mettra fin as ta misérable existence. Tu ne les toucheras pas. Tu ne lui feras plus jamais de mal.

- Je ne reçois pas d’ordre d’une pute.

- Je vais te faire regretter tes actions.

 

 

Encore et encore, je l’attaquais encore et encore et il parait Chaque coup que je lui portais. Le combat semblait durer une éternité. Il était fort mais je voyais bien qu’il s’épuisait bien plus vite que moi. Je réussis à lui trancher la main qui tenait sa lame. Il criait de douleur. J’avais mit toute ma rage dans ce coup. Je le plaquai contre le mur enfonçant la lame de mon sabre dans son torse, la faisant glisser entre deux de ses côtes perforant un de ses poumons. Un nouveau cri de douleur s’échappait de ses lèvres.

- Sa c’est pour le père de Milan.

Ma lame alla ensuite s’enfoncer dans son ventre.

- Sa c’est pour Adrien.

Je le jetais sur le sol écrasant ses parties génital avec mon pied le faisant crier de douleur. J’étais habité par ma rage. Ma colère, je venais de me transformer en ce monstre qui avait fait ce carnage sur ce bateau il y a 4 ans. Je me délecté de ses cris de douleur de ses supplications.

- Jackson arrête.

Je m’entendais plus rien je ne voyais plus rien, rien d’autre que ce sang. Ma lame glissait le long de son torse déchirant ses vêtements entaillant sa peau, jusqu’à son pubis où je plantais ma lame, le faisant glissait l’ouvrant comme un porc, jusqu’à lui arraché la bite et les couilles.

- Sa c’est pour Milan et Shawn. Plus jamais tu me feras souffrir quelqu’un. Va en enfer.

Je l’attrapais par les cheveux et mon sabre trancha la peau de son coup. Il n’eu même pas le temps de pousser un dernier cri. Son sang couler à flot alors que son corps était agitait de derniers spasmes. La nuit était enfin redevenue calme. C’était tellement agréable. C’était fini. Je venais de mettre fin à cette souffrance qu’il leurs avaient infligé. J’avais vengé mon meilleur ami. Et aidait l’homme que j’aimais à retrouver son frère.

Je me retournais vers mon amour mais il me ne regardait même pas il avait déjà tournée les talons s’éloignant avec son frère. Et sa me fit sourire. Ils allaient enfin pouvoir être heureux. Je me tournais ensuite vers mon meilleur ami qui me fixait les larmes aux yeux. Je voulais que lui aussi soit heureux. Je sais enfin ce qu’essayer de me murmurait ce vent.

- Soit heureux Milan. Je t’aime.

- Jackson.

« Une fin et un recommencement. Ta mort, leurs bonheur ».

 

 

 

 

                                                                                     FIN.

 

 

et voila pour le 150 émé article de mon blog je vous met la fin d'un amour de pirate. snif. c'est trop triste.

 

Par Amako - Publié dans : un amour de pirate ( terminé)
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