j'avais promis de mettre la suite hir mais je n'ai vraiment
pas eu le temps, trop de travail. proit demains je mais un autre chapitre. bisous et bonne lecture.
CHAPITRE 12 :
Ils étaient tout les quatre réunis dans la chambre de Ronald et Joël, ce dernier restait assis sur
son lit en silence, alors que les trois autres discutaient de la prochaine étape. C’est alors qu’un hibou entra par la fenêtre, se posant sur le bureau.
Angel se leva pour aller prendre le morceau de vieux parchemin attaché à la patte de l’animal. Il
retourna s’assoir sur le lit entre les jambes de Davis qui referma ses bras autour de lui. Ronald baisa la tête sous la tristesse. Il ne supportait pas de les voir si proches et si
amoureux.
Joël continuait de dessiner sur son carnet sans prêter attention aux trois autres. Le blond déplia la
lettre et ouvrit de grands yeux étonnés.
- Ce n’est pas une
langue que je connais.
- ah bon ?
S’étonna le brun puisque son homme parlait des dizaines de langues différentes.
Le roux lui prit la lettre des mains, il frissonna lorsque ses doigts touchèrent ceux d’Angel mais il
se reprit tout de suite.
- Je ne connais
pas non plus.
Davis prit la lettre pour regarder avant de se tourner vers Joël.
- Joël, tu peux
nous aider ?
- Fais
voir.
Le brun se leva pour aller s’assoir à côté de Joël qui se tendit, ils n’étaient plus aussi proches
depuis qu’ils avaient couché ensemble. Il essaya de cacher son trouble et prit le morceau de papier pour le lire.
- C’est la langue
des arbres.
- ça parle les
arbres ? Demanda Ronald étonné.
- A leur façon,
oui, comme tout ce qui est vivant, il faut juste savoir écouter.
- Et ça dit quoi ?
Demanda Angel.
« L’épreuve à commencé, c’est en mon sein que tu trouveras le chemin à suivre, écoute la voix des
anges et tu trouveras ce qui est à trouver »
- C’est bizarre
comme lettre. Fit remarquer Davis.
- Non, c’est très
clair. C’est une sorte de chasse aux trésors. La première épreuve se déroulera dans la forêt.
- Et les anges,
qu’est-ce que c’est ? T’en as déjà entendu parlé ? Demanda Angel.
- Ce sont des
fleurs très rares qui poussent uniquement au pied des platanes caméléon. Arbres très dur à trouver car ils changent souvent d’apparence.
- Il va falloir
arpenter toute la forêt alors.
- Non, il existe
une formule qui permet de les repérer. Je me charge de repérer le chemin cette nuit et dès demain, on part à la recherche du prochain indice. Je pense qu’il y aura des obstacles à passer. Si l’un
de vous pouvait me trouver un plan détaillé de la forêt, ça serais vraiment super.
- On s’en charge.
Répondit Angel en se lavant entrainant son petit ami à sa suite.
- Je passerais te
chercher avant de partir pour la forêt.
- Ok, à tout à
l’heure.
Il sortit de la chambre et Joël plongea dans sa malle pour en sortir un gros livre avant de retourner
s’assoir sur le lit en souriant.
- Viens voire
Ronald, que je te montre.
Le roux se leva pour aller s’assoir sur le lit du blond qui ouvrit le livre, faisant voler de la
poussière. La page montrait une fleur d’’un blanc des plus purs.
- Regarde, c’est
cette arbre-là, ça, c’est une fleur d’ange. Elles ont un pouvoir incroyable.
- Quel type
?
- La légende dit
que si l’on trouve un ange et qu’elle prend la couleur de tes yeux alors elle te révélera qui est ton âme sœur.
- Et comment
?
- Lorsqu’elle
fane. Si tu trouves une de ces fleurs, tu dois la cueillir avec la tige et la replanter. Tu dois t’en occuper avec amour. Et lorsqu’elle se fanera alors tu sauras qui est la personne qui t’es
destinée, ça peu prendre des années. Et puis ce n’est qu’une simple légende.
- Tu y crois toi
?
- Je crois qu’il
faut croire pour vivre, Ronald.
- C’est une très
belle légende. Si on a déjà trouvé son âme sœur ?
- Elle fane tout
de suite.
- Je veux en
trouver une.
- Tu sais, il n’y
en aura peut-être pas. Ce n’est pas parce qu’il y a un arbre qu’il y a une fleur. Elles sont vraiment très rares.
- J’en trouverais
une et elle me dira qu’Angel est celui qui m’est destiné.
- Hm, je n’aurais
pas dû te raconter cette histoire. Dit-il en refermant le livre. Tu n’es qu’un con. Tu ne peux pas comprendre.
- Hé pourquoi tu
t’énerves ?
- Tu rapportes
toujours tout à lui. Y’en a marre. Mets-toi dans la tête qu’il aime Davis et qu’il ne t’aimera JAMAIS.
Joël se reçut un magistral coup de poing dans le visage lui fendant la lèvre. Trois fois déjà qu’il
le frappait. Et son cœur lui fit encore plus mal.
- T’ES QU’UN SALE
CONNARD. TU N’AS PAS LE DROIT DE NE DIRE CA. TU N’AS PAS LE DROIT DE BRISER MES RÊVES.
- JE T’EMMERDE,
VAS TE FAIRE FOUTRE.
- TOI,
D’ABORD ! C’EST PAS MOI QUI ME SUIS FAIT ENCULE COMME UNE PUTE PAR DAVIS.
-
T’es…t’es…vraiment…un…connard…
- C’est toi qui as
commencé.
- Fous…fous-moi…la
paix…c’est une perte de temps de parler avec toi.
Joël sortit de la chambre en claquant la porte essayant de retenir ses pleurs. Pourquoi fallait-il
toujours que ça ce passe comme ça ? À chaque fois qu’il commençait à se rapprocher, quelque chose les éloignait à nouveau. Ils n’étaient peut-être pas faits pour être amis. Ils étaient trop
différents l’un de l’autre.
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