Lundi 15 février
1
15
/02
/Fév
00:23
Le concierge.
Je m’appelle Andréas, j’ai 20 ans et je travail comme concierge dans un immeuble de luxe dans les beaux quartiers de Marseille. J’y travail depuis un an déjà. Je connaissais tout le monde et
était apprécier de tous, mais je n’étais que le concierge. Malgré mon nom latin je suis loin d’être beau. Je suis brun, la peau pâle, j’ai les yeux vert bleu. Je suis banale, vraiment banal. Je
vis seul. Je suis seul depuis que j’ai 16 ans. Depuis que mes parents m’ont jetais dehors à cause de mon orientation sexuel. Un fils gay dans une famille de fervent catholique ça fait tâche
d’encre. Je ne suis jamais sorti avec qui que ce soit. Je suis un éternel solitaire. Et je ne m’en plein pas. Je n’ai pas besoin des autres.
Tous les matins je le vois sortir de l’immeuble. Tous les jours aux bras d’un mec différents. Le seul mot qu’il m’adressé était un simple bonjour. Le soir lorsqu’il rentre il vient chercher son
courrier et repart sans un mot. Et moi je le regardais partir sans osez lui parlais. Il est tellement loin de moi. Lui c’est Sean. L’homme le plus beau que j’ai vu. Il était grand, blond.
Contrairement à moi il et bronzé. Sans doute dû à ses longues heures à ce prélassé sous le soleil. Il a 26 ans, il vie au 4 éme étage. Il y avait toujours du monde cher lui. Des hommes tous plus
beau les un que les autres. Tout les week end il fait des fêtes cher lui. Et moi je rêvé du jour où je pourrais y être invité. Mis cela n’étais qu’un rêve. Je n’étais que le concierge. Je suis
juste là pour faire mon travail. Jamais je n’aurais le courage de lui dire que je l’aime en silence depuis le tout premier jour où j’ai croisé son regard dans le hall d’entré il était aux bras
d’un mec à tombé parterre. Je fessais bien pâle figure devant cet homme. Jamais je ne pourrais être à son bras.
- Bonjours André.
À oui j’oublier il est incapable de ce souvenir de mon prénom. Il savait déjà que c’était André il manqué plus que le « as ». Mais ce n’es pas grave, qu’es ce qu’il pouvait en avoir à faire de
moi. Je n’étais que le concierge.
- Bonjours Sean. Passez une bonne journée.
- Toi aussi.
Je le regardai partir en rêvant. Où moins ce matin il était seul. Au moins un point positive. Oui je suis d’un naturel positif. Après tout j’ai un boulot et un toit que demandé de plus.
- Bonjour Andreas.
- Bonjours Jean. Vous aller bien ?
Jean c’était le facteur c’est le seul moment de la journée où je parlais vraiment à quelqu’un. C’est la fin de sa journée alors il s’arrête boire un café et en reste à parlais de choses et
d’autre. C’est un homme de 35 ans, brun aux yeux d’un noir d’ébène. Il est beau. Mais marier et père de famille. J’aimais ces petit moment que je passé avec lui. C’était mon seul ami. Mais
lorsqu’il part je suis de nouveau seul.
- Andréas chérie. J’ai l’ampoule de ma salle de bain qui à grillé tu pourras venir la changé.
- Je passerais ce soir Mm Rose.
- Très bien alors.
Mm Rose elle vie sur le même palier que Sean, c’est une vielle dame adorable. Toujours souriante et elle me prépare de très bon gâteau. S’occuper de l’immeuble représenté une masse de travail. En
plus de la maintenance de parties commun, des appartements, des garages. Il y avait aussi un parc de plusieurs hectare qui demandé un entretien quotidien. Mais j’adoré ce boulot, je n’avais pas
le temps de m’ennuyais.
Aujourd’hui j’avais du tendre la pelouse, taillé les haies, et repeindre la cuisine de Mr Jones. Le locataire du cinquième étage qui devait revenir de voyage en fin de semaines, j’avais aussi du
arroser ses plantes et mourir ses poisson.et enfin il était 19 heures lorsque je pus enfin aller changé l’ampoule de Mm Rose. Je n’avais pas eu le temps de me changé, ni de prendre une douche. De
toute façon je n’avais pas encore fini ma journée. Après avoir changé l’ampoule j’acceptai le verre si gentiment proposé. On discuta un peu de chose et d’autre. Puis je pris congé pour aller
reprendre mon travail.
- Tu es bien trop sérieux Andréas. Tu t’épuise à la tâche.
- Mais non. J’adore ne rendre utile Mm Rose.
J’ouvrir la porte pour sortir la refermant sur la vielle dame. Lorsque je me retournai je tombai nez à nez avec Sean au bras d’un sublime roux. Je voyais leurs regards détaillés mon accoutrement.
C’est vrai que je n’étais pas à mon avantage dans mon bleu de travail, plein de terre et de peinture, les cheveux en batail. Lui par contre il était sublime avec sa chemise blanche impeccable.
Son jean de marque tout comme ces chaussures. On ne fessait pas parti du même monde. Je fus sorti de mes pensé par sa voix grave et sensuel qui ne fessait toujours tremblais de désire, d’amour.
- J’ai tapé mais tu n’étais pas cher toi.
- C’est pour votre courrier ? Je vous le porte tout de suite.
- Je…
Je ne le laissai pas finir sa phrase et dévala les escaliers pour entré chez moi je pris les quelques enveloppes poser sur la table du salon et remonta les escaliers avec empressement jusqu’au 4
éme étage. Je sonnai à sa porte et attendit qu’il vienne m’ouvrir. Après quelques secondes j’entendis ses pas derrière la porte et celle-ci s’ouvrit sur un Sean torse nue, le jean détaché
laissant voire son boxer noir, les cheveux en bataille et essoufflé. Il est tellement beau, son torse si bien dessiner me donné envi de le caressé, de l’embrassé de le léché. Mais c’est un autre
qui va profiter de ce corps de rêve. Je fus à nouveau sorti de ma contemplation par sa voix essoufflé.
- André. Tu aurais put prendre le temps de te changer avant de venir.
- Je n’ai pas fini de travailler.
- Mais il est 20 heures. Tu veux boire un verre.
- Je…
- Sean si tu n’arrive pas dans 5 minutes c’est un de tes jouets qui va s’occuper de moi.
- Merde désolé André on ferra ça une autre fois. Tu c’Est-ce que c’est, vraiment impatient.
Non je ne sais pas.
- Je suis désolé de vous avoir déranger. Bonne soirée.
- Ce n’est pas grave.
Il ne fixait en silence, je le vis levé la main vers moi et me figea de surprise. Qu’es ce qu’il fait. Il glissa sa main dans mes cheveux me fessant frémir il la retira bien trop vite à mon goût.
- Tu avais une feuille dans les cheveux.
- Ah…oui merci…je…bonne soirée.
- Toi aussi. Répondit-il avant de refermer la porte. Je restai figé devant comme un con la tête basse. Il devait déjà être retourné dans les bras de cet homme. Sa soirée serrait sans nul doute
bien meilleur que le mienne. Moi je vais la passé devant la télé. Demain il faut que je ne sort pas de cher moi avant qu’il ne soit parti. Je ne veux pas le croiser aux bras de cet homme.
oupi j'ai réussi à mettre la version corrigé. je suis la meilleur.lol.
Derniers Commentaires