Le blog de Amako
CHAPITRE 10 :
« Je me souviens de la première fois ou il as montré de la jalousie. Cela à était la nuit la plus atroce de ma vie. Il m’a rappelais ma conditions de jouet. Cette nuit là il m’avait emmené en boite avec lui. C’était la première fois que j’y remettais les pieds depuis que je l’avais rencontré. Il n’avait fait gouter à l’extasie. Moi qui n’y avais jamais touché. Il c’était penché vers moi pour me murmurait d’une voix pervers.
- lâche-toi un peu, va danser mon poussin comme tu sais si bien le faire. Si tu arrive à m’existé je te baiserais toute la nuit, comme tu aime.
Sa m’avait fait mal de l’entendre me parlais de la sort. Mais je n’avais pas la force de lui répondre. À quoi bon. Puis il n’avait poussé sur la piste de danse. Alors qu’il rigoler entouré de tous ses amis, je n’étais qu’un objet de distraction. »
J’ouvrir de grand yeux étonner lorsque je senti une main ce refermais autour de mon poigner m’arrachant des bras de cette inconnu. J’eu as peine le temps de réaliser ce qui venait de ce passé que Andy envoyait un coup de poing à l’inconnu l’envoyant au tapis. Je le fixais et il me terrorisé, je n’avais encore jamais vue autant de colère dans son regard. C’était pour moi qu’il ce montré aussi violent. Sa voulait dire qu’au font il m’aimait bien.
- Personne ne touche à ma pute sans mon autorisation.
Je sentais mon cœur ce briser à nouveau. Ce n’est pas possible. Pourquoi est-ce que je me faisais encore de faux espoir. Il ne m’aimait pas. Que sa rentre une fois pour toute. Je ne suis que son jouet. Il me força à le suivre jusqu’à l’extérieur. Il me plaqua contre un mur avec force et son poing s’abattit sur ma joue me faisant crier de douleur. Il plaçait sa main autour de mon coup m’étranglant, il ressemblait à un monstre ainsi, les yeux remplis de colère, de folie alors qu’il resserrait doucement la pression. Ses lèvres frôlaient le lob de mon oreille et sa voix ce fit sifflante, basse, un murmure.
- Tu aurais du le repousser. Tu aurais du repousser cette homme.
Il m’attrapait par le collier me forçant à me mettre à genoux devant lui.
- Sale petite chienne. Est tu conscient de ta position. À mes pieds, à obéir à Chaqu’un de mes ordres. Tu as donc tant envie que sa de te faire sauté ?
- …
- Répond petite pute. Tu as envie de te faire sauter.
Il me murmurait plus, il crier. Alors qu’il tirait sur mon collier avec force. Je suffoquer. Sa me faisais tellement mal. Je voulais que sa arrête. Mais la douleur ne cesserait jamais.
- Oui.
- Oui quoi ?
- J’ai…j’ai envie de me faire baiser.
- Très bien. Justin as très envie de ton petit cul. Tu va passer la nuit avec lui.
- Non…
Un nouveau coup s’abatis sur ma joue alors que son regard ce faisait plus menaçant encore. J’ai peur. Il me terrorise. Jusqu’à où peut il allait pour soumettre quelqu’un à ses désire. Jusqu’à ou j’suis capable de m’enfonçait pour qu’il m’aime.
- Tient j’ai un petit cadeau pour toi.
Je le vis sorti un seringue de sa poche. Il allait encore me faire prendre de la drogue de force. J’essayer de me défaire de sa prise mais il était bien plus fort que moi. Alors je ne pus rien faire d’autre que de sentir l’aiguille percer ma peau et le produit ce dissoudre dans mes veine.
- Voila maintenant tu va le suivre et je ne veux pas l’entendre ce plaindre de ton obéissance où je n’occuperais de ton cul moi-même.
- Tu es enfin réveiller. Tu sais que t’es vraiment chaud toi. Quand tu baise tu deviens une véritable petite chienne. Je n’ai jamais autant baisé en une nuit.
« Je n’étais réveiller cher cette homme que je ne connaissais même pas. Je l’avais laissé faire ce qu’il voulait. Je me savais même pas ce que j’avais put faire cette nuit là. J’avais tout oublié. Je me sentais tellement mal. Je faisais tout ça pour un homme qui ne me rendrait jamais mon amour. Après cette nuit la j’ai servi de jouet à Chaqu’un de ses ami. Il adorait m’offrir à eux. Il savait très bien que je ne pouvais pas refusait. La seule chose qui m’aider était de penser que je pourrais te revoir."
J’étais en train de danser sur la piste, la drogue faisait doucement effet, s’immiscent dans chacune de mes veine. Je laissais la musique me portait. Je savais qu’il me regardait, qu’il ce riait de moi. Mais je n’arrivais plus à penser mon esprit était embuée, l’alcool, la drogue, la chaleur. Je me savais plus au j’étais. Je sentais quelqu’un ce coller à moi. Je savais que ce n’étais pas Andy. Je serrais capable de le reconnaitre entre des centaines d’hommes. Son odeur, son corps, je le connaissais par cœur. Mais je ni prêtais pas attention. Sa devait être un de ses ami. Il voulait sans nul doute joué avec moi.