Le blog de Amako

 

 

CHAPITRE 4 :

 

 

Tout le gratin de la société était réuni pour cette soirée organisé au métropolitan museum of art. C’était une œuvre de charité comme adorait en organisé les gens de la haute pour bien ce faire voire. Costard cravate était de rigueur. Courbette, sourire commercial et bassesse était aussi invité à la fête. Valentin venait d’arrivé avec son père, toutes les jeunes femmes présente ce retournaient sur le passage de ce bel homme. Le savoir inaccessible était encore plus intéressent. Il portait un costume blanc qui lui allait à merveille, il avait laissé la cravate au vestiaire aux plus grands désarrois de son père. Il faisait tout pour ce faire remarqué dans le mauvais sens du terme bien sur. Mais lui ne semblait pas s’en soucier, s’il avait bien hérité quelque chose de son père c’était bien cette arrogance. Il était tellement sur de lui, un peu trop dés fois c’était ce qui lui portait préjudice. Mais bon tout le monde s’emblait l’adoré. Il savait attirait la sympathie des autres. Ce qui était un atout de taille dans ce monde de requins.

- Mr. Mc GREGOR comment aller vous ?

- à merveille monsieur le maire. Et vous ?

- Très bien. Belle soirée n’est-ce pas ?

- Très réussit.

- Je vois que votre fils déchaine toujours autant les passions. Ma fille regrette de voire un si bon parti être de l’autre bord.

- Oui je le regrette aussi croyez moi. Mais c’est mon fils alors je l’accepte comme il est. Jeune et fougue.

 

Valentin était en train de parlait. Non de littéralement dragué le petit fils de je ne sais quel homme politique. À vrai dire il m’en avait rien à faire tout ce qu’il voyait c’était sa belle petite gueule et son jolie petit cul. Et le petit brun ne semblait pas indifférent. Il rougissait à chaque fois que le blond lui faisait un compliment, qu’il s’approchait trop de lui, qu’il le frôlait. C’était trop mignon en aurait dit une petite vierge. Pourquoi Vladimir ne réagissait-il pas comme ça ? Peut être qu’il n’était pas si puceau que ça le bougre. Il s’approchait de lui collant son corps contre le sien pour aller lui murmurait à l’oreille.

- Tu sais que t’ai vraiment mignon. J’ai envie de te faire plein de choses pas très catholiques.

- Je…je…on ne peux pas...maintenant.

- Alors en leurs fausse compagnie et en va ce faire du bien.

- je…

Il fut coupé dans sa phrase par des murmures montant dans la salle.

- Regard c’est lui ce qu’il est beau.

Valentin ce retournais vers l’entré de la salle et vit avec ravissement Vladimir entrait dans l’immense salle. Et il était sublime, il ce dresser avec prestance vêtu de noir. Un costume qui avait du couté incroyablement cher. Mais peut importe ce qu’il portait sa lui allait à ravir. C’était fou l’aura qu’il dégagé. Juste en ce tenant la immobile. Son attitude froide et détacher était dés plus attirante en avait-il seulement conscience ? Il était au côté de son père. Son père aussi avait était un très bel homme dans sa jeunesse. Il était toujours attirant mais vieillissant et la beauté de son fils ne l’arranger pas.

- Je reviens poussin.

Valentin ce dirigé vers les deux nouveaux arrivant un sourire provocateur aux coins lèvres, son sujet de distraction favori venait de faire son entré et la soirée devenais tout de suite bien plus intéressante. Vladimir ne semblait même pas l’avoir remarquait, et sa lui donnait envie de le faire encore plus chier. Il allait dire quelque chose lorsqu’il ce sentis attirait en arrière et la voix de son père s’élevais interrompant les murmures.

- Tiens donc Douglas et son puceau de fils.

- Tiens donc Mc Gregor et son fils à la cuisse légère. Dit moi qu’es ce que sa fait de savoir que ton fils ce fait prendre comme une femme ?

- Pour information mon fils et un actif.

- mais je ne serais pas contre le fait de me faire prendre par votre fils.

Cette simple phrase eu pour effet de braqué tout les regards sur lui, mais il me s’en soucier pas, il avait en moins attirait l’attention de Vladimir qui le fixait avec son habituel détachement et sa fit s’agrandir son sourire le jeu pouvait enfin commençais.

- Alors beauté en vient avec son papa chéri.

- il semblerait que nous soient dans la même situation étant donné que tu es aussi avec ton père.

- Déride-toi Vlady. T’es vraiment pas marrant du tout. Alors gueule d’amour à tu repensé à notre petite conversation dans le parc.

- Pourquoi y aurais-je donc repensé ?

- je t’ai fait une promesse. Tu t’es fait beau pour moi ?

- Je ne me suis en aucun cas fait beau. Je suis juste habiller pour l’occasion. Voudrait tu s’il te plait avoir l’obligeance de me pas m’importuné avec tes discoure affabulateur.

- Que de grands mots sortant d’un si joli bouche. Sa me donne envie de te mangé les lèvres.

- Sa suffit. Intervenait le père de valentin hors de lui. Cesse donc de parlais à ce cloporte insignifiant.

- Je crois que c’est plutôt ton fils le cloporte insignifiant. Pour le mien de tout le monde évitons-nous pour le reste de la soirée. Vient avec moi.

- Oui père.

Vladimir emboita le pas de son père, comme le gentil fils bien obéissant qu’il était. Il fut surpris d’être tiré en arrière par Valentin, qui ce collait à lui, pour aller lui glisser a creux de l’oreille.

- Il y a un espion chez vous.

- Pourquoi me dire cela ?

- parce que je veux jouer dans les règles sans tricher. Jamais de triche. Alors règle le problème Vlady.

- sa sera fait. Merci.

- Sa mérite une récompense.

- Tu veux savoir quelque chose Valentin.

- Non je sas je te rends fou.

Vladimir le fixait sans rien répondre avant de détourner les talons pour partir. Le blond le regardait s’éloigner, encore une fois il n’était pas parvenu à le faire sortir de ses gonds. Ce mec était vraiment imperméable à tout. Il allait tous faire pour voire ce masque de froideur disparaitre de son visage.

 

 

Mer 21 avr 2010 1 commentaire

ils en on po marre de jouer o jeu du chat et de la souri tout les deux

stephy - le 24/04/2010 à 23h07

c'est vrai que sa doit être épuissant.lol.

Amako