Le blog de Amako
CHAPITRE 33 :
Je fus réveillé par les rayons du soleil, et je ne trouvais pas Jackson à mes côtés. Je n’allongeais sur le dos un sourire béat sur le visage. Cette nuit sa avait été grandiose. On avait fait l’amour encore et encore. Je l’avais possédait encore et encore. Sa avait été tendre. C’était de l’amour, juste de l’amour. Son corps n’avais manqué et je n’avais eu de cesse de le lui répétait. Sa me rendais faible de lui dire tout cela, mais je n’avais put m’en empêchais.
Je me sentais devenir dépendant de lui et sa me terrorisé.
Je me redressais pour le chercher du regard mais je ne me le trouvais pas dans la cabine. Je sentais à nouveau la colère monter en moi à l’idée qu’il soit avec ce Milan. Je me levais enfilant mon pantalon et ma chemise sans prendre la peine de l’attacher. Si je le trouvais encore dans ses bras je crois que je vais le baiser devant lui pour bien lui faire comprendre à qui il appartient.
Je sortais sur le pont et la première chose que je vis fut Jackson avec deux sabres qui fixait Milan avec froideur, lui aussi tenait deux sabres et le regardait avec autant de froideur. Venait-il de ce disputé où bien s’entraimaient-ils juste.
Je sentais un frisson me traverser lorsque je vis Jackson foncer sur Milan, sa longue cape volante derrière lui. Milan placer ses sabres devant lui bien camper sur ses positions attendant l’attaque. Le choque de leurs sabres frire des étincelles, faisant s’envoler les quelques mouettes qui c’était posé sur le pont. C’était un spectacle des plus envoutants. Ils étaient vifs, précis dans leurs attaques aucun coups n’étaient porter au hasard. Ce que j’aimerais savoir me battre de la sorte. C’était comme s’il exécuter une danse et c’était follement envoutant, existant et terrifiant à la fois. Je n’arrivais pas à en défaire mon regard.
Jackson ce retrouvait derrière son jeune second son sabre sous sa gorge.
- Tu as perdu. Murmurait-il à son oreille assez forte pour que je l’entende.
- Je ne crois pas.
En effet la pointe de son sabre était appuyais contre son flanc, prés à le transpercer. Jackson souriait d’un sourire magnifique.
- Je dois avouer que tu as fait des progrès fulgurant.
- c’est sans nul doute parce que j’ai un très bon prof.
- sans doute.
Milan lâchait ses sabres et ce retournait vers son capitaine pour le serrait dans ses bras. J’avais envie de protesté mais ne fit rien. Jackson refermait ses bras autour de lui le serrant avec force contre lui.
- Tu va s’arranger Milan.
- Rien ne s’arrangera Jack. C’est impossible et toi aussi tu le sais très bien. Tu sais ce qui va ce passé.
De quoi étaient-ils en train de parler.
- Je sais mais je veux continuais d’y croire encore un peu.
Je sentais la colère monter en moi lorsque je vis Milan posait ses lèvres sur celle de mon Jackson. Je vais en faire du pâté pour poissons. Il le relâchait vite pour s’éloigner. Jackson le regardait partir avant d’enfin poser ses yeux sur moi. Son regard était empli de tristesse, et il m’adressait encore un de ses sourires hypocrites que je déteste voir sur son visage. Je m’approchais de lui et l’attrapaient par la nuque pour prendre ses lèvres elles sont à moi et personne d’autre. Nos langues ce mêler alors que mes mains ce posaient sur ses belles petits fesses le collent d’avantage contre mon corps, enfonçant ma langue entre ses lèvres. Il glissait ses bras autour de ma nuque gémissant de plaisir entre mes lèvres. Ses lèvres si douces, si savoureuse sont les miennes. Juste à moi. Je finissais par relâcher ses lèvres plongeant dans ses deux yeux émeraude.
- N’oublie pas que tu m’appartiens Jacky. Et comme tout le reste de ton corps tes lèvres son à moi et moi seul.
- je le sais. Il va mal il à besoin de moi.
Je le serrais encore plus fort dans mes bras l’embrassant derrière l’oreille. Je faisais glisser mes mains sous sa chemise pour caressais sa peau. J’avais encore envie de lui, j’avais l’impression de n’être jamais rassasier.
- j’adore te regardais manier le sabre. Tu es tellement beau, tellement envoutant. Sa m’existe à mort. Murmurais-je contre ses lèvres. Je déteste l’idée que d’autre lèvres ce posent sur les siennes. Je suis jaloux et sa me fait peur. Je me l’aimais pas alors je ne devais pas être jaloux et pourtant c’était le cas.
- Et si je t’apprenais à manier le sabre mon amour. Nos deux corps dansant l’un contre l’autre dans une danse bestiale, sauvage, sensuel. Il avait murmurait ses mots à mon oreille d’une voix douce follement existante. Il avait le don de me rendre fou, sa voix, son souffle, son corps. Chaque jour il me rendait encore plus fou de lui.
- Hm…j’en meurs d’envie.
Il ce détacher de moi et me tendais un de ses sabres. Il était beau, vraiment beau. Je ne devrais pas le trouver beau, je ne devrais pas autant aimer ses baisers, ses caresses. Je ne devrais pas autant aimer lui faire l’amour. Je devrais le détester, mais je ni arrivais pas.
Il s’avançait vers moi en souriant. Je levais mon sabre comme l’avais fait Milan.
- Alors battant nous. Murmurait-il gardant son beau sourire. La ce donc j’avais envie ce n’était pas de me battre mais de lui faire l’amour comme un fou.