Le blog de Amako
CHAPITRE 32 :
- Pardonne-moi.
Pourquoi me demandait-il pardon. Il ne voulait pas de moi. Je sentais les larmes me monter aux yeux. Il me forçait à me retourner, je gardais la tête baissé. Je ne voulais pas qu’il voyait à nouveau mes larmes. Il prenait mon visage entre ses mains et mes lèvres ce retrouvaient prisonnière des siennes. Je restais sans la moindre réaction le laissant m’embrasser. C’était tellement tendre. Il ne cherchait pas à approfondir le baiser. C’était juste une caresse, un effleurement et sa me rendais fou. Il finissait par s’écarter de moi et posait son front contre le mien.
- Ne t’offre plus à moi comme ça. Comme si ce n’était qu’une passe. Comme si tu n’étais qu’une pute et moi un de tes client. Sa me rappelle le mal que je t’ai fait. Je ne veux plus que sa ce passe comme ça entre nous. Je veux te voire pendant que je te ferais l’amour.
Je me redressais et le poussais jusqu’au lit, il butait contre le sommier et tombait sur le matelas. Je venais aussitôt prendre place sur son bassin. Je plongeais dans ses deux océans impétueux, sauvage. Et je n’y noyais à nouveau. Je faisais glisser mes doigts sur sa joue. Il fermait les yeux et je le sentais frémir sous moi. Je fixais ses lèvres en silence, j’avais envie de l’embrasser, de goûter à nouveau ses lèvres. Il posait ses mains sur ma nuque pour m’attirais plus prés de lui. Je sentais son souffle caressait mes lèvres essayait-il de me rendre encore plus fou de lui. Je faisais glisser ma langue sur ses lèvres et il les ouvrir pour me laissais aller cherchait sa langue. Je faisais glisser mes mains sur son corps alors que les siennes resté sur ma nuque. Il m’avait tant manqué. Je voulais le retrouver, redécouvrir son corps. Comme s’il m’avait été interdit durant des années. Il faisait enfin glisser ses mains sur mon corps, et chaque centimètre carré de mon corps frémissait à ses caresses. Avant que je ne puis faire quoi que ce soit je me retrouvais plaqué contre le matelas et ses lèvres sur mon corps. Je croyais bien que j’allais en mourir de plaisir. Ses lèvres étaient si douces, si chaude. Sa langue découvrait doucement chaque parcelle de ma peau, je fermais les yeux le laissant faire ce qu’il voulait de mon corps. Je crispais mes mains dans ses cheveux gémissant de plaisir. Pourquoi est-ce que j’aimais autant qu’il me touche, qu’il me caresse alors que je détesté lorsque ses homme me toucher.
« J’était en train de regarder la mer. J’avais enfin réussit. J’avais réussit à trouver un bateau pour parcourir les mers. J’allais enfin pourvoir cherché ce que je cherché. Enfin si j’arrivais à savoir ce que je cherchais. C’était vraiment un spectacle incroyable. Voire la proue fondre les flots, l’odeur de l’eau marine. J’avais tout quitté pour vivre sa.
- Gamin vient avec moi.
Je me retournais vers le capitaine qui venait de me sortir de ma contemplation. Je le suivais sans rien faire jusqu’à sa cabine refermant la porte derrière moi alors qu’il allait s’assoir derrière son bureau prenant la bouteille de rhum pour s’en servir un verre. Je ne disais rien me contentent de le fixait en silence. Je savais que j’aller devoir payer pour pouvoir resté à bord de ce bateau et j’étais prés à tout pour cela. Est- ce que sa faisait de moi quelqu’un de mal ? Est-ce que c’était mal d’être prés à tout pour pouvoir réaliser son rêve.
- Retire tes vêtements.
Je détacher ma chemise la laissant tomber sur le sol, puis le reste de mes vêtements prirent la suite. Je n’avais pas peur, je n’éprouver aucune crainte aucune appréhension.
- Vient là.
Je fis le tour du bureau pour venir lui faire face, son regard détailler mon corps avec envie. Je le laissais faire, que pouvais-je bien faire d’autre. Il voulait mon corps, j’étais peu être jeune mais pas con. Je savais ce qu’il voulait.
- Met toi à genoux et montre-moi ta reconnaissance.
J’ai fais ce qu’il me demandait, ce jour la j’avais accepté de devenir sa pute pour pouvoir réalisé mon rêve. J’étais le plus méprisable des hommes. »
- Dris…non…arrête
- Chut. J’en ai envie alors laisse moi faire.
Il reprenait mon sexe en bouche. C’était la première fois que l’ont me faisait une telle chose. Jamais je n’aurais cru que ce puis être aussi agréable. C’était tellement chaud, brûlant. J’avais l’impression de me consumer sous ses caresses. On aurait dit qu’il avait fait ça toute sa vie. Je sentais la jouissance monté en moi, je suis en train de devenir fou. J’étais dans un monde qui n’était encore totalement inconnu. Je le forçais à me relâcher lorsque je me sentais venir. Je ne croyais pas qu’il puis avoir envie que je jouis en lui. Il relâchait mon sexe et je venais sur mon ventre criant tout mon plaisir, j’avais littéralement décollé du matelas sous la force de mon orgasme. Jamais je n’aurais cru pouvoir prendre autant de plaisir juste en ayant mon sexe dans sa bouche. Je n’avais pas été habitué à cela. D’habitude c’étais moi qui devais faire ça.
Il reprenait mes lèvres entre les siennes, je glissais mes bras autour de sa nuque me collant d’avantage à lui. Je voulais qu’il me fasse l’amour là tout de suite. Qu’il me rende encore plus fou de lui.
- Sa t’as plus Jacky. C’est la première fois j’ai fait de mon mieux.
- Pour moi aussi c’était ma première fois. C’était vraiment bon. Merci.
- De rien Jacky. J’avais vraiment envie de te faire ça.
- Fait moi l’amour. Je veux te sentir en moi. C’est si dur d’être loin de toi.
- Je suis désoler Jacky.
- Si tu me fais l’amour je te pardonne.
- alors je vais te faire l’amour comme jamais encore. Tu en à envie ?
- Oui. Répondis-je dans un souffle.
Je prenais sa main entre mes doigts et prit deux des siens en bouche pour les sucer, le regardant avec provocation. Je voyais le désir brûlais dans ses pupilles. Je savais que mon corps lui faisait de l’effet, que j’étais capable de lui faire perdre la tête, mais contrairement à lui ce n’était que du sexe. Je relâchais son sexe et faisait glisser ses doigts entre mes jambes que j’écartais pour lui, je les appuyais contre ma rosette et les fit entré en moi serrant les dents sous la douleur. Il me fixait en silence sans rien faire alors que ses yeux me dévoré avec gourmandise. Il ce penchais vers moi posant ses lèvres sur les miennes.
- Je t’aime tellement. Murmurais-je contre ses lèvres.
- Je sais. Je sais.
Je fus sorti de mes souvenir lorsque je sentais ses lèvres ce posaient sur mon gland. Je me redressais pour essayer de le repousser mais sans succès. Il n’était pas gay, il ne m’aimait pas alors pourquoi faisait-il ça ? Pourquoi cherchait-il à me donnais de l’espoir.