Le blog de Amako

 

CHAPITRE 5 :

 

 

« La porte c’étais ouvert sur cet ange aux ailes noirs. Cette ange déchut qui m’entrainé dans ma propre déchéance. Je n’étais que son jouet. Et on fini toujours par ce lassé de ses jouets. Et je finirais rejeté et seul. Ce jour là serrais aussi celui de ma mort. »

 

Je sursautai lorsqu’il posa sa main sur ma joue me fessant tremblais de plaisir. Son geste était si doux que je ne pus retenir plus longtemps mes larmes. Il m’attira contre lui me serrant dans ses bras. Je fermai les yeux profitant de ce contact. Sa gentillesse ma tuer plus qu’elle ne me fessait de bien. Car elle n’était qu’éphémère. Car ce n’étais que de la pitié. Il claqua la porte derrière nous alors que je me serrais aussi fort que je le pouvais contre lui. Pleurant comme un enfant. Il me souleva et je le laissai faire. Je ne voulais pas quitté ses bras si rassurant. C’est peut être la seul fois où je pourrais connaitre ce genre d’étreinte. Il me posa sur l’évier et s’écarta de moi. Je voulais le retenir mais je n’en fis rien. Il alla faire couler l’eau dans la baignoire. Je le fixais avec incompréhension. Pourquoi fait-il ça ? Es ce qu’il tient un peu à moi ?

- Pourquoi es ce que vous étiez si senti avec moi ?

Il ce retourna vers moi son regard était si noir qu’il me fit peur. Il ce rapprocha de moi jusqu’à ce que son corps soit coller aux mien. Je sentais son souffle sur mon visage. Deux jours que je ne l’avais pas vu. Il me manquait tellement. Je veux l’embrassé. Je veux qu’il me fasse l’amour. Je ne veux pas resté loin de lui.

- Pourquoi ? Personne ne fait de mal à mon jouet. Si je me lui en ais pas donné le droit.

C’était donc ça. C’était juste par intérêt. Il ne voulait pas que l’ont abîme son joué préféré. Je baissai la tête, les larmes coulais encore plus sur mes joues. Ses paroles étaient encore plus douloureuses que les insultes et les coups de mon père. Il n’attrapa par le menton me forçant à relever la tête. Je n’oser pas le regardais en face.

- Jay tu m’aime ? Demanda-t-il d’une voix que je ne lui avais encore jamais entendu. Plus douce que d’habitude. Il ce joue encore de moi.

- Oui. Si je ne vous aimez pas vous croyais que j’accepterais que vous me baisiez comme une vulgaire pute. Et de toute façons qu’es ce que vous en avez à faire de ce que je ressens. C’est le cadet de vos soucis. Tout le monde ce moque bien de ce que je peux ressentir. Mes parents m’en jetaient dehors comme un malpropre parce que je suis gay. Et l’homme que j’aime me prend pour sa chienne.

- Tu savais ce à quoi tu t’exposer en venant ici la seconde fois…

- Je sais, j’ai accepté. Je ne demande rien. Je m’ai plus qu’à fermer ma gueule.

Il posa ses mains sur mon corps le fessant glisser le long de mon torse jusqu’à ma ceinture pour me retirais mon t-shirt. Je le laissai faire, fermant les yeux.

Je le sentis me soulevais, j’enroulai mes bras autour de son cou me laissant me portais comme en porte un enfant. Je nichai mon visage dans son coup respirant sa douce odeur. Je l’aime, je l’aime tant. Il me déposait dans le bain, l’eau chaude détendait mon corps endolorie par les coups et cette nuit passé sur le banc sous le froid. Sa faisait tellement de bien. J’enroulais mes jambes de mes bras y plongeant ma tête. J’avais envi de pleurais. S’il ne voulait pas me gardai cher lui que vais-je faire. J’ai perdu mes parents à cause de lui. C’est lui que j’ai choisis. Je ne veux pas qu’il me rejette. J’ai besoin de lui.

Je fus surpris de le sentir ce glisser derrière moi et ses bras puissant enserraient mon corps rendu si faible. Je me détendais me laissant aller contre son torse. Je fermai les yeux profitant de ce moment de tendresse. Je sentais ses mains glisser sur mon torse, sur mes bras. C’était si doux, si tendre. Jamais je n’aurais cru qu’il puisse être si tendre. J’avais l’impression d’être face à un autre homme. Il fit glisser ses lèvres dans ma nuque, il attrapa le lobe de mon oreille avec ses dents, me le mordillant avec douceur. Je sentais l’excitation ce répandre dans mon corps. Et je sentais son envi de moi.

- J’ai envi de toi Jay. Tu n’es pas venu hier. Tu m’as manqué.

J’aurais du m’en douté. Avec lui tout n’es que question de sexe. Il me poussa en avant me forçant à me mettre à genoux, je posais mes mains sur le rebord de la baignoire, il m’attrapait par les cheveux et ravi mes lèvres. Je crois que ce baiser à fini de me rendre amoureux de lui. Ce baiser était si doux, si tendre. Je ne l’aurais jamais cru capable d’embrassé de la sorte. J’en tremblais de plaisir, de bien être. Il cherche à me rendre dingue. Je serrai les dents sous la douleur, lorsqu’il me pénétrait, je sentais de l’eau entré en moi. C’était brûlant. Je m’accrochais au rebord posant ma tête sur mon bras essayant d’oublier ma douleur. Il ce mit à bouger en moi doucement, avec douceur, jamais il n’avait jamais était aussi tendre. Je ne l’en aurais jamais crus capable de faire preuve de temps de douceur. Avait-il la moindre idée de ce que cette tendresse fessait maitre en moi.

Je laissais échapper un gémissement de plaisir et il ce mit alors à ce mouvoir en moi avec plus de force, il m’agrippait par les hanches me prenant avec plus de force encore. Il posait sa tête sur mon épaule, je sentais son souffle brûlant sur ma peau. Il me rend fou. Je l’aime tant. C’était si bon de le sentir en moi, son sexe aller et venir entre mes chaires brûlantes, le sentir taper contre ma prostate. Chaque coup de rein m’envoyait décroché les étoiles.

Je ne voulais pas tourné la tête vers lui. Je ne voulais pas voire cette lueur de perversité dans son regard. Je ne voulais pas y voire toutes ses insulte qu’il avait envi de me jetais à la figure. Mes larmes coulaient sur mes joues malgré le plaisir que j’éprouvais. Je me sentais si sale. Je le sentis ce tendre et jouir en moi, me faisant atteindre l’orgasme. Il s’écroulait sur moi à bout de souffle. Mes bras cédaient et je m’écroulais dans l’eau. Je sentis ses deux bras m’enserrais et il me serrait contre lui.

- Tu m’as tué Jay. C’est vraiment le pied de baiser avec toi. Tu avale les bites à la perfection. Et tu es si étroit. Je n’ai jamais prit autant de plaisir avec un autre. Pour un hétéro tu adore te faire mettre. Tu t’entends crier. Et tu t’empale de toi-même sur ma bite.

- Vous men…

- Je ne mens jamais Jay. Je ne t’ai jamais menti. Si j’aurais voulus te mentir je t’aurais fait croire que je t’aime pour être sur de ne pas perdre un jouet aussi jouissif que toi.

 

 

« Il n’avait laissé seul après m’avoir dit de telle choses. Il venait de me planté une nouvelle lame dans le cœur. J’avais si mal u cœur. Je voulais oublier cette douleur qui emplit mon cœur. J’avais cherché autour de moi quelque chose qui pourrait me faire oublier cette douleur. Et la seul chose que j’ai trouvé c’est de m’infligé une douleur corporel encore plus forte. Alors j’ai fait couler mon sang. »

 

 

 

 

 

 

 
Jeu 15 avr 2010 Aucun commentaire