Le blog de Amako
EPILOGUE :
Il faisait beau, le soleil brillait haut dans le ciel, les oiseaux chantaient. Aujourd’hui, le château était en fête. C’était la remise des diplômes, la fin des études pour les jeunes diplômés.
Un beau roux d’environ dix huit ans était assis au bord du lac, fixant l’étendue bleue en souriant. Il fut sorti de ses pensées lorsque des gouttes d’eau coulèrent sur lui. Pourtant, il ne pleuvait pas. Il releva la tête tombant sur un visage souriant et les deux plus beaux lagons qu’il lui avait été donné de voir. Bien plus envoûtant que ce lac.
- Tu es encore en retard mon amour. Murmura-t-il en caressant ce visage tant aimé du bout des doigts.
- Pardonne moi je nageais, je n’ai pas vu le temps passer. Répondit-il en s’agenouillant devant lui. Je suis sorti parce que je me languis de toi.
- Hm, si tu m’embrasses, je te pardonne.
- Tu m’as déjà pardonné.
- Embrasses-moi.
Le bond glissa sa main en douceur sur sa joue, jusqu’à sa nuque l’attirant contre lui pour ravir ses lèvres avec douceur. Le roux noua ses bras autour de sa nuque s’allongeant sur le sol, l’attirant sur lui l’embrassant avec fougue.
- J’ai trop envie de toi mon amour, t’es si bandant quand tu sors de l’eau comme sa.
- Il faudra attendre ce soir.
- Hm, moi j’ai envie que tu ne fasses l’amour maintenant.
- On va être en retard à la remise des diplômes, mon cœur. Ne fais pas l’enfant, ils nous attendent.
- Si tu étais sorti avant, on aurait eu le temps de faire l’amour. Tu préfère ce lac à moi.
- Ne sois pas idiot, tu sais que je t’aime plus que tout au monde. Répondit-il en l’embrassant à nouveau avec douceur le serrant contre lui.
- T’as intérêt à être à la hauteur ce soir pour te faire pardonner.
- Je t’enverrai au paradis.
- Hey ! Joël, Ronald, on est là, cria Angel en leur faisant de grands signes alors que Davis assis à ses côtés se contenter de les regarder en souriant, gardant son petit ami dans ses bras. Ronald prit la main de son petit ami en lui souriant, l’entrainant à sa suite jusqu’à leur place.
- encore en retard, Ronald, tu n’en loupes pas une.
- Hey ! Ce n’est pas de ma faute, on n’a même pas eu le temps de faire l’amour.
- Et t’es frustré parce que t’as pas eu ta dose de queue.
- T’as tout compris Davis.
Joël essaya de cacher sa gêne. Décidément, il était vraiment bien plus expressif que lui, il n’avait pas peur d’afficher ouvertement ce qu’il ressentait.
Ils avaient à présent 18 ans. Deux ans que le tournoi s’était déroulé, et dès demain, ils quitteraient l’école leur diplôme en poche. De nouvelles aventurse les attendaient.
- Mon amour.
Joël se redressa plongeant son regard dans celui de son beau roux le regardant en souriant caressant son visage avec douceur faisant frémir Ronald qui vint se blottir dans ses bras soufflant de bien être.
Sur les murs de la chambre si vide la première fois que Ronald était venu, on pouvait à présent voir des centaines de croquis de Ronald, d’eux, d’Angel et Davis et des photos de ses deux années écoulé.
- Qu’est-ce qu’il y a ? T’en veux encore ?
- Hm, ça serait pas de refus mais là, je suis mort, tu m’as tué. C’était génial. Ce n’es pas ça.
- C’est quoi alors ?
- Je t’aime comme un fou.
- Je sais.
- Hier j’ai trouvé une autre fleur d’ange.
- Ah oui ? Tu attires les raretés toi.
- Bien sûr puisque je t’ai toi. Répondit-il en lui souriant et Joël ne put se retenir plus longtemps de l’embrassé avec passion allant chercher sa langue. Ce baiser était doux, plein d’amour, passionné. Ce fut Ronald le premier à mettre un terme au baiser à bout de souffle.
- Et alors que s’est-il passé ? Demanda Joël en souriant face au visage plein d’extase de son amour.
- J ne l’ai pas ramassée.
- Hein ? Pourquoi ?
- Parce que je sais déjà que tu es l’homme de ma vie, je n’ai pas besoin qu’une plante me le confirme alors que mon cœur le sait déjà. Je la laisse pour quelqu’un qui est perdu comme je l’étais. Mais j’ai compris quelque chose de très important.
- Quoi donc ? Demanda le blond la voix étouffé par l’émotion.
- Je veux qu’on s’installe ensemble. Pas à l’internat de la fac. Dans notre appartement juste toi et moi. Notre petit nid d’amour. T’en as envie ?
- Bien sur. Répondit le bond fou de bonheur en le serrant contre lui.
- Et…je…enfin…
- Eh n’es pas peur. Qu’est-ce qui t’arrive ? Ca te ressemble pas. C’est bien la première fois que je t’entends bégayer, mon cœur. Vas-y, lances-toi.
Le roux se redressa s’agenouillant devant lui prenant sa main dans la sienne. Le cœur du beau blond se mit à battre encore plus fort. Ronald prit une grande inspiration et ce lança.
- Joël LEVI, est-ce que tu voudrais faire de moi l’homme le plus heureux de la terre en m’épousant ?
Joël le fixa les larmes aux yeux. Il n’arrivait pas à y croire et il avait toujours souhaité cela. Ronald glissa ses bras autour de son coup, se serrant contre lui pour aller lui chuchoter à l’oreille.
- je suis sérieux, un mariage magique que jamais rien ne pourra défaire. Je veux t’appartenir pour la vie et que tu m’appartiennes pour toujours.
- c’est déjà le cas, ça é été si dur de t’avoir donc je ne te lâcherais plus.
- c’est un oui, ça ?
- c’est un oui.
Ronald l’embrassa fou de bonheur en se rallongeant sur lui. Il l’aimait tellement et il avait perdu déjà tellement de temps, il ne voulait plus perdre une seconde.
- J’ai encore envie de toi, mon amour, je veux encore te sentir en moi.
- Je croyais que tu en avais eu assez ?
- Non, j’en veux encore.
- Et si c’es toi qui me faisais l’amour pour une fois ?
Le roux se redressa étonné, le blond lui caressa la joue en souriant.
- En deux ans, tu ne m’as pas fait l’amour une seule fois.
- C’est…à cause de ce que je t’ai fait.
- Mon cœur, c’est du passé tout ça. J’ai envie. Fais-moi oublier. Repartons à zéro tu veux ?
- Je…je…
- Fais-le, Ronald.
Joël l’embrassa et l’attira contre lui. Il voulait oublier et ne se concentrer que sur leur futur. Ce tournoi, il ne l’avait pas gagné mais il avait eu quelque chose de bien plus beau. Son amour.
FIN.
et voila c'est fini. snif. j'espère que cette prolongue vous plaira comme le reste de la fic. merci à toutes celle qui me suive. gros bisous.
merci. ravi qu'elle t'ai plus. bah je l'ai bien fait souffrir joel mais c'est une happy end. merci de l'avoir suivit jusqu'au bout. bisous
istoire super au moin mon tit joel et eureu avec l omme kil aime.