Le blog de Amako
CHAPITRE 22 :
« Ronald jouait avec des amis, il devait avoir tout juste six ans, c’étais un enfant plein de vie. Il avait toujours beaucoup de monde autour de lui. Il était toujours souriant et heureux. Jamais il n’avais connu la douleur d’être seul. Il ne voyait pas le petit blond assis plus loin sous cet arbre seul. Il était là tous les jours mais jamais personne ne le voyait. Comme un fantôme il était invisible aux yeux des autres. Il venait ici tout les jours pour regardait le petit roux. Il ne savait pas comment il s’apelais. Ni qui il était mais il l’admirait de loin. Il voulait tant lui ressemblais. Il voulait pouvoir devenir quelqu’un de bien qui pourrait ce tenir à ses côté. Mais cela n’arriverais jamais parce qu’il ne le regardait jamais comme les autres.Ronald se redressa enfonçant sa tête entre ses mains. Comment avait-il pu oublier cet ange qu’il n’avait vu qu’une fois et qui avait hanté ses rêves d’enfant ? Son premier amour. Dés qu’il l’avais vu il était tombé sous son charme. Un amour de petit garçon. A cette âge là o ne comprend pas ce genre de chose. Il aurait tant voulu qu’il soit ami. Pouvoir apprendre à le connaitre. Leur première rencontre n’avait était que trop courte. Qui aurait put croire qu’il serait tombé amoureux de ce petit ange tout timide qu’il avait rencontré enfant. D’une envi de le serrait contre li pour lui faire oublier sa tristesse, sa solitude, il était passé à une envi de le prendre dans ses bras pour l’aimer et le protégé. Il avait tant voulu revoir son doux regard bleu et lorsqu’il en avait eu l’occasion il ne l’avait il ne l’avait même pas reconnu, il ne l’avait pas vu et il s’en voulait tellement. Il se relaissa tomber sur son lit en soupirant. Tout ça, c’était du passé. Lui il était amoureux d’Angel. Il ce ressemblais tant. Non ils étaient différents.
Ronald tourna la tête vers l’arbre et fut étonné de voir le petit blond qui baissa la tête en se mettant à rougir et ça le fit sourire, il était vraiment mignon ce petit. Il s’approcha de lui, bien décidé à lui parler.il ce laissa tombé en tailleur devant lui avec un large sourire sur le visage. Faisant encore plus rougir le jeune blond.
- T’es tout seul ?
- Oui. Répondit-il d’une petite voix.
- Tu n’as pas d’ami ?
- Non.
- Pourquoi ?
- Parce que… personne…ne veux jouer avec un orphelin…ils sont tous méchants avec moi. Toi aussi, tu vas te moquer de moi…
Ses yeux étaient emplis de tristesse et suppliants. Il n’ avait pas envi d’être méchant avec lui. Il voulait le prendre dans ses bras pour qu’il ne soit plus triste.
- Non moi je veux bien être ton ami. Viens jouer avec moi.
Le petit blond souriait, il avait un sourire trop mignon qui fit rougir Ronald. Il détourna la tête gêné. Ce petit bout de chou était vraiment trop attendrissant on ne pouvait que tombais sous son charme.
- Alors tu viens jouer avec moi ?
- Oui. J’arrive…
- Joël, il faut que tu rentre maintenant.
- Je…je dois rentrer.
Il ce redressa la tête basse. Il aurait tellement voulut pouvoir joué une fois avec lui. Juste une fois il aurait voulut pourvoir ce tenir à ses côté. Il partit sans un mot de plus et Ronald le regarda partir avec tristesse, il ne l’avait pas revu après sa.il l’avait attendu, espèrent le voir arrivé avec son air timide mais il n’es jamais revenu et il as fini par l’oublier. »
- Je suis entrain de devenir fou.
Ronald était assis sur le sable regardant le lac perdu dans ses pensé. C’est alors que son regard fut attiré par le corps sortant de l’eau vêtu d’un simple boxer. Un corps élancé et fin si désirable, d’une pâleur envoutant, ses longs cheveux blond ruisselant d’eau.
Il se laissa tomber à genoux devant lui le fixant avec tendresse, un doux sourire sur le visage. Il posa sa main sur sa joue la caressant avec douceur alors que ses lèvres se posaient sur les siennes le faisant trembler. Il le fit s’allonger sur le lit se glissant entre ses cuisses, le caressant, l’embrassant.
- aaah…c’est…hm…c’est bon…
Le blond se fondit sur lui avec douceur, le faisant gémir de plaisir. C’était tellement bon de le sentir en lui, de sentir ses lèvres contre les siennes, son corps contre le sien, ses mains sur sa peau, sa chaleur, sa douceur. Tout en lui le rendait totalement fou. Il se sentait si bien là dans ses bras.
- aah…oui…Jo…Joël…je t’aime…aaah…je t’aime tellement….aaah.
- je t’aime…aussi Ronald, je suis fou de toi.
Il s’était à nouveau réveillé en sursaut, jamais aucun de ses rêves me lui avait paru aussi réel, il avait l’impression de sentir encore son sexe en lui, ses lèvres sur les siennes, il embrassait tellement bien que ça le rendait fou, ses mains glissant sur sa peau, chaque caresse était comme une douce brûlure qui le faisait trembler de plaisir, son souffle dans sa nuque. Et il entendait encore sa douce voix lui dire à quel point il l’aimait.
- C’est pas vrai ! Qu’est-ce qui m’arrive à la fin ?
Ça avait été si fort qu’il en avait jouit et il en était encore tout essoufflé.
Il se redressa et tourna la tête vers la table de chevet où se trouvait la fleur d’ange, elle avait fané. Et ce qu’il vit lui coupa le souffle, son cœur se serra, ce qu’il avait pu être bête. Il se leva, enfila son pantalon et sortit de la chambre en courant. Il n’avait que trop trainé.
Il entra dans la chambre, elle était vide, silencieuse, tellement silencieuse et triste. Le mur était bleu et dépourvu de photos ou autre. Aucune trace d’une quelconque vie sociale. Il se souvint alors qu’il était orphelin. Il vit un autre carnet de croquis posé sur le bureau, c’étais encore des dessins de lui, il posa celui qu’il avait à côté et alla s’écrouler sur le lit, soufflant de lassitude. La pièce était emplie de son odeur, c’était si réconfortant. Il avait dû aller harceler le directeur pour connaître l’emplacement de la chambre du blond. Ça avait été dur.
La porte de la salle de bain s’ouvrit le faisant sortir de ses pensées. Joël apparut devant lui entouré d’une simple serviette de bain, le corps encore ruisselant d’eau. Il était sublime comme dans son rêve. Non encore plus, bien plus beau.
Lorsqu’il le vit, le blond se figea de stupeur, le cœur battant la chamade. Pourquoi était-il là ?
- Qu’est…ce que tu fais là ?
- C’est dur de te trouver, j’ai bien cru que tu étais un fantôme.
- Tu n’as pas répondu.
- Pourquoi tu passes ton temps à m’éviter ?
- Pourquoi tu réponds à une question par une autre ?
- Réponds-moi Jo.
Le blond baissa la tête ne pouvant pas affronter son regard si perçant et si doux.
- Je ne t’évitais pas…C’est…Toi qui me ne remarques pas comme d’habitude. Tu ne m’as jamais remarqué.
- menteur, tu me fuis comme si j’avais la peste.
-…
- pourquoi tous ses dessin de moi ?
-…
Ronald le fixait avec tristesse. Pourquoi ne le regardait-il pas ? Il voulait tellement qu’il le regarde avec ses beaux yeux bleus mais il gardait la tête basse. Il avait tellement de choses à dire mais par où commencer ?
- Tu n’as même pas assisté à ma victoire.
- Si, j’étais là.
- ça m’a beaucoup attristé de ne pas te voir après Jo.
- Il y avait Angel, c’est-ce que tu voulais, non ?
- J’aurais voulu partager ma joie avec toi. Après tout, c’est grâce à toi si j’ai pu y arriver.
- non…je n’y suis pour rien.
- approche Jo, j’ai un cadeau pour toi.
Le blond s’approcha de lui, ça faisait si longtemps qu’ils n’avaient pas été si proches l’un de l’autre. Le roux lui tendit le paquet qu’il tenait et lorsqu’il le prit leurs doigts se frôlèrent, les faisant tous deux frémir de bien être. Le blond s’écarta aussitôt rouge de gène.
- Ca fait des mois que je te cherche pour te le donner. Reprit le roux d’une voix plus douce encore. Tu m’as beaucoup manqué, Jo. Chaque matin, en me levant, j’espérais qu’enfin je pourrais te voir.
- Arrête de mentir. Tu n’en as rien à foutre de moi. Tu n’en as jamais rien eu à foutre de moi.
- Allez, ouvre. Répondit-t-il avec tristesse.
Le blond déchira le paquet et ouvrit le cadeau avec de grands yeux étonnés alors que le roux souriait.
- C’est pour que tu puisses dessiner. Il y a tout ce que tu peux rêver. J’espère que ça te plait.
- Oui…beaucoup…merci. Pourquoi ?
- Pour te remercier. La nuit dernière, j’ai fait un rêve. D’un passé que j’avais oublié. Un petit garçon orphelin qui nous regardait jouer de loin, seul, toujours assit sous le même arbre. C’était un ange, et lorsque j’ai enfin pu l’approcher, il a disparu, c’était mon premier amour. Peut-être que c’est lui que je cherchais à travers Angel. Et je n’ai pas su le reconnaître. Il était devenu si beau.
Ronald prit sa main dans la sienne la caressant avec douceur. Il avait tellement envie de le prendre dans ses bras, de le serrer aussi fort qu’il le pouvait contre lui.
- pourquoi tu me dis tout ça ? Demanda Joël les larmes au bord des yeux.
- Elle a fané. La fleur d’ange.
Joël se défit de sa prise ramenant son bras contre lui.
- Et alors, elle a confirmé que c’était Angel l’homme de ta vie ? Félicitations. Tu dois être vraiment heureux.
- pourquoi ses dessin Jo ?
Le blond redressa la tête, il pleurait et Ronald sentit son cœur ce serrer.
- Parce que ça fait des années que je suis amoureux de toi, que je te regarde de loin dans l’espoir que tu me remarques enfin, comme lorsque l’on était enfant. Moi, je ne t’ai jamais oublié, je n’ai jamais cessé de penser à toi. Tu as été mon premier et tu es mon seul amour. Je n’ai jamais cessé de t’aimer. J’étais si heureux de te retrouver mais toi tu m’avais oublié. Je ne sais dessiner que toi, encore et encore parce que tu occupes chacune de mes pensées. Cinq ans que je souffre de te savoir en aimer un autre. Alors maintenant sors et cesse de me faire tant de mal.
Ronald l’attira avec force contre lui, enroulant ses bras autour de son bassin posant sa tête sur son ventre plat soupirant de bien-être. Il releva la tête vers lui en lui souriant avec tendresse.
- La fleur, elle n’a fait que me révéler ce que je me voulais pas m’avouer Jo. Maintenant je sais où est mon bonheur. Alors je ne te lâche plus, mon Ange. S’il te plait dit moi qu’il n’es pas trop tard Joel.
Le blond s’écarta de lui le fixant en silence les larmes coulaient le long de ses joue
- Arrête de te moquais de moi. Arrête de joué avec moi. Je ne suis pas Angel. S’il te plait va tant et oublie moi comme je t’ai oublier.
- Joël s’il te plait je…
- Non arrête Ronald s’il te plait par
FIN.
et voila le dernier chapitre snif. il ne reste plus que l'épilogue. je vais commencer une nouvelle fic mais je ne sais pas laquelle encore. voila bisous.