Le blog de Amako

CHAPITRE 15 :

 

 

            Joël était assit sur le sable, la dent entre les mains. Qu’es-ce que ça voulait bien pouvoir dire ? Il ne comprenait pas mais il devait trouver avant ce soir. Il ferma les yeux essayant de se concentrer. Il fut sorti de ses pensées lorsqu’Angel vint s’assoir à côté de lui.

- C’est une dent de dragon. C’est la seconde épreuve : affrontez le feu dans l’arène, se battre contre un dragon. Et je veux le faire, je m’y connais en dragon.

- Davis est d’accord ?

- il n’a pas besoin d’être d’accord. Je veux le faire. Tu es le capitaine de l’équipe donc c’est à toi que revient la décision.

- Pour moi, c’est ok.

- Combien d’équipes restent en course ?

- six.

- Lors de la dernière épreuve, si on gagne tout les quatre une épreuve, ce sera chacun pour sa gueule mais je pense qu’il y aura une épreuve avant pour nous départager.

- Sans doute. Je ne veux pas remporter le tournoi de toute façon. Je n’en tire aucun avantage de toute façon. Que de la souffrance.

- Moi, j’aimerai gagner.

- Alors vas t’entrainer.

            Angel se redressa et il partit pour aller se préparer à affronter ce qui l’attendait. Affronter un dragon n’était pas une mince affaire.

 

 

- QUOI ? S’écria Ronald. TU VAS LE LAISSER SE BATTRE CONTRE UN DRAGON ? TU ES IRRESPONSABLE. 

- Arrête de crier, c’est lui qui me l’a demandé.

- T’AS QU’A LE COMBATTRE, TOI, CE PUTAIN DE DRAGON !

            Le bond sentit un nouveau coup de poignard dans le cœur.

- Oui, c’est vrai si moi, je meurs, c’est moins grave. C’est pas une grande perte si ce con de Joël inutile meurt, il ne manquera à personne. Tu t’en contre fiches de moi. Dit-il d’une voix douloureuse. Et le roux l’acheva.

- C’EST CA, T’AS TOUT COMPRIS.

            Joël se leva la tête basse, le cœur en morceau. Il se dirigea vers la porte.

- Où tu vas ? Tu fuis encore ?

- Je vais lui dire que je le remplace. Et j’espère qu’un dragon me brûlera vif ou me mangera quoiqu’à mon avis, lui aussi me trouvera répugnant mais au moins tu seras tranquille et moi aussi. Comme ça…tu…tu…pourras avoir ton chéri.

            Il ouvrit la porte de la chambre pour sortir, fou de colère, les larmes coulant sur ses joues pâles. Son cœur lui faisait tellement mal.

- Attends !

 

            Le roux le retint par le bras pour l’attirer contre lui et le serra dans ses bras. Le blond se débattit mais Ronald était bien plus fort que lui. Il le maintenait contre lui avec force, le sentant trembler contre lui. Et il s’en voulait tellement.

 

-je suis désolé Joël. Je le pensais pas.

- Si tu le penses, je sais très bien que t’en as rien à foutre de ma gueule. Tu penses qu’à ton Angel, tout le monde s’en fout royalement de moi. Alors ça ne fait rien si je meurs dans cette arène.

- j’ai eu très peur pour toi, hier soir. On est amis et je n’ai pas envie qu’il t’arrive quelque chose. Je t’adore.

- Hm, peut-être.

- C’est la vérité. Tu ne m’en veux pas ?

- Non, je t’en veux pas…je n’arrive pas à t’en vouloir…tu peux me lâcher, s’il te plait ?

- Non, je te garde. Je ne te laisse pas partir.

 

            Les battements de cœur du beau blond s’accélérèrent et Ronald ne faisait rien pour arranger les choses. Il lui caressait les cheveux avec douceur et glissa son autre main le long de son dos. Sa main remonta glissant sous son t-shirt.qui ce figea sous la surprise. Ronald posa son front contre le sien et lui retira ses lunettes les posant sur la table de chevet. Il prit son visage entre ses mains, leurs lèvres étaient à quelques centimètre l’une de l’autre. Le blond tremblait sous ce contact.

- J’ai envie Joël.

- De…de…quoi tu parle ?

- J’en peux plus. J’en ai tellement envie.

- Je ne comprends pas…

- J’ai terriblement envie de lui.

            Joël se défit de sa prise. Il lui tourna le dos. Il aurait dû s’en douter, ce qu’il pouvait être con. L’espace d’un instant, il avait cru que Ronald avait envie de lui. Mais tout ce qu’il voulait c’était Angel. Ça lui faisait tellement mal. Ronald le rattrapa à nouveau par le bras pour le prendre contre lui. Il posa une de ses mains sur son sexe gonflé sous son jean. Son souffle était rapide, ses yeux brûlant de désir mais pas pour lui.

- J’ai trop envie, Jo, tu ne peux pas me laisser comme ça. Murmura le roux à son oreille la voix enrouée par le désir, l’envie. J’en ai envie comme un fou. Je veux pouvoir toucher son corps l’embrasser, le serrer dans mes bras, le caresser, lui faire à nouveau l’amour.

- Et…qu’est-ce…que…tu attends…de moi…

- Tu le sais très bien, Joël. Répondit-il en frôlant ses lèvres des siennes.

- Non…je…ne peux pas…je ne veux pas…

- S’il te plait, Joël. Fais le pour moi.

 

 

            Le blond s’écarta de lui, et quelques secondes plus tard, ce fut Angel qui se trouvait devant lui, les pupilles grises. Ronald le fixait avec un amour débordant. Il s’approcha de lui doucement jusqu’à pouvoir ravir ses douces lèvres, l’embrassant avec douceur et amour.

- Je t’aime tellement, Angel.

 

 

 

 

 

 

Jeu 25 mar 2010 1 commentaire
ronald et tro con c po possible un mec aussi con il a rien capter o film lui il faudrai ke joel lui prete ses lunette il compredrai peu etre pourtan il est po blon vite lasuite et arrete de traumatise mon tit joel.
stephy - le 25/03/2010 à 22h39
j'y peu rien c'est plus fort que moi. j'adore le voire pleurais. ( c'est mon côté sadique). l'amour rend aveugle et Ron il es sacrement aveugle.lol. il est mignon jojo moi as sa place je lui aurais déjà sauté dessus
Amako