Le blog de Amako

pour me faire pardonné de ne pas avoir posté durant plusieur jours je vais mettre 3 chapitres d'un amour de pirate. je sais je suis la meilleur^^. bisous



CHAPITRE 18 :

 

 

 

            Lorsque je me réveillai, il navait pas bougé dun centimètre, toujours allongé sur moi, entre mes cuisses et son sexe toujours en moi. Ce nétait pas vraiment agréable mais peu importait. Je ne voulais pas le voir séloigner de moi. Je lui caressais les cheveux avec douceur, ils étaient si doux, ils sentaient la pêche. Sa peau était douce. Je ne pus empêcher mes lèvres de se posaient sur son front.  Cétait donc ça lamour. Cétait aussi agréable que de contempler la mer un soir de pleine lune, oui, cétait vraiment magnifique.

            Il sagita dans son sommeil et je retenais un gémissement de plaisir en sentant son sexe prisonnier de mes chairs bouger. Il bougea encore et je laissais échapper un nouveau gémissement de plaisir. Cétait douloureux et bon à a fois.

            Il se redressa légèrement sappuyant sur ses avant bras et ouvrit les yeux pour me regarder. Il les referma aussitôt comme sil ne voulait pas me voir et son front vint se poser sur le mien. Je sentis son souffle brûlant sur mes lèvres et mon cœur semballa. Je souris lorsque je lentendis protester en disant quil voulait encore dormir. Il était vraiment trop mignon, mon amour. Je déposais un baiser sur le bout de son nez et il rouvrit les yeux plongeant dans mon regard.

- Bonjour, toi. Murmurais-je en lui souriant avec tendresse effleurant sa joue de mes doigts.

            Il me fixa en silence et je commençais à prendre peur. Je laissai retomber mon bras sur le drap. Il regrettait ce qui sétait passer hier soir. Je fermais les yeux posant mes mains sur son torse pour essayer de le repousser et de méloigner de lui avant de me remettre à pleurer. Il plaqua mes mains sur le matelas me forçant à rester tranquille.

- Où tu cherches à aller comme ça ?

- laisses-moi partir.

- Pourquoi je ferai ça ?

- Parce que tu regrette.

- Doù sors-tu ça ?

- Je vois ça parce que tu ne dis rien

            Il ne me laissa pas le loisir de finir ma phrase que ses lèvres emprisonnèrent les miennes, faisant décoller mon cœur. Quest-ce que ce baiser représentait ? Jétais perdu, je ne le comprenais pas. Il glissa ses bras sous mon dos et me redressa sur ses cuisses. Je sentais sa verge durcir en moi, écartant doucement mes chairs alors que ses mains caressaient mon corps. Ses lèvres se séparèrent des miennes pour aller glisser dans mon cou. Il attrapa le lobe de mon oreille avec ses dents, le caressant du bout de la langue alors quil me serrait dans ses bras avec force.

 

- Dris, dis quelque chose. Le suppliai-je alors que sa main venait demprisonner mon sexe. Ses dents samusèrent à mordre la peau de mon cou me rendant encore plus fou de désir. Je me redressai sur mes genoux libérant un peu sa verge puis redescendis aussitôt la renfonçant en moi. Je me sentais si vide lorsque je ne le sentais pas en moi. Je rejetai la tête en arrière laissant échapper un cri de plaisir alors que ses lèvres ce posèrent sur ma pomme dAdam. Je me cambrai, lui ouvrant toute ma profondeur. Il prit mon visage entre ses mains me faisant comprendre quil voulait que je le regarde. Jouvris les yeux, ils devaient être remplis de plaisir, de désir. Ma respiration était difficile, saccadés, brûlante. Il approcha ses lèvres des miennes, les caressant du bout de la langue augmentant encore plus la chaleur dans mon corps. Il cherchait à me faire perdre la tête. Au moment où je voulus prendre ses lèvres, il se recula, me fixant avec provocation, alors que jen gémissais de frustration.

- Drissil te plait

- Jai adoré te faire lamour. Et je nai quune envie, cest de recommencer. Tu es si désirable. Si bon.

- aah.

            Il mattrapa par les hanches me faisant bouger sur sa verge aussi dur quune barre de fer. Et il me laissa enfin lembrassé. Il aimait jouer avec moi. Et moi comme un con, je ne marchais pas, je courrais. Il devait bien se rire de moi et de ma faiblesse. Je glissai mes bras autour de son cou, rejetant la tête en arrière pour laisser mes gémissements de plaisir franchir la barrière de mes lèvres.

- Drisaaahcest bonaaahtarrête pas.

- Je nen ai pas lintentionhm..cest trop bon dêtre en toi

 

 

 

            Jétais assis sur le rebord de la fenêtre de cette petite chambre dhôtel. Mon regard étais rivé vers le port où notre bateau était ancré. Je me demandais ce que pouvait bien faire Jackson. Javais envie de retourner sur le navire, de le voir, de passer la nuit avec lui en parlant de choses et dautres comme dhabitude. Mais javais peur de le voir avec Adrien. Ce connard. Pourquoi fallait-il quil soit tombé amoureux de cet homme ? Il méritait dêtre heureux, lui ne fera que lenfoncer encore plus dans sa tristesse. Si cela ne tenait que de moi, je laurais rejeté par-dessus bord depuis bien longtemps. Je le détestais. Et je nai quune envie, celle de le tuer. Pourquoi fallait-il quil laime lui ?

            Je me relevai pour quitter mon observatoire et mallonger sur le lit. Il était déjà très tard, il fallait que je dorme et que jarrête de réfléchir. À quoi cela servait-il ? Il ne mécoutera pas. Lamour rendait aveugle et le voile devant ses yeux était vraiment épais.

 

 

 

            Jouvris les yeux pour le regarder. Il était tellement beau là planté sur mon sexe. Il ne facilitait vraiment pas les choses. Jaimais lentendre gémir mon nom alors que je le possédais. Lentendre me demander de continuer, daller plus vite  plus fort. Il aimait ça tout autant que moi.

- Tu aimes Jack ?

- Ouiaaahcest bon, mon amouraaahtu me rends fou.

- Toi aussicest tellement bon de te faire lamourhm.

            Il montait et descendait sur mon sexe alors que jenvoyais mon bassin rejoindre le sien pour menfoncer en lui avec plus de force encore. Il libéra totalement ma verge avant de la ravaler aussitôt. Seigneur, il sait comment faire jouir un homme ! Je ne tardais pas à jouir en lui le serrant avec force contre moi criant de plaisir. Je crois que jai vu des étoiles au moment où jai joui. Ce nétait pas permis de donner autant de plaisir à quelquun. Jessayais tant bien que mal de reprendre mon souffle. Je remarquai quil navait pas encore joui. Il était encore dur. Je le soulevai, le plaquant face contre le matelas. Je lui écartai ses deux belle petites fesses et fit glisser mon gland le long de sa raie, jusquà sa petite rosette. Le faisant gémir de plaisir. Son petit anneau souvrit pour laisser entrer mon sexe en lui. Je posais mes lèvres sur sa nuque en mordillant sa peau.

- Tu en as encore envie ?

- Ouiaah

- Jeje croyais que tu ne voulais pas que je te saute comme une chienne. Murmurais-je à son oreille en enfonçant ma verge en lui.

- Fais-lesaute-moisaute-moi comme ta salope

 

- Hm, arrête, tu mexcites.

            Je lui arrachai un cri de plaisir lorsque je menfonçai en lui dun seul coup, jusquà la garde et lui fis tourner la tête pour pouvoir prendre ses lèvres et lembrasser avec douceur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mar 9 mar 2010 Aucun commentaire