Le blog de Amako
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CHAPITRE 17 :
Je glissai mes bras autour de son coup le serrant contre moi répondant à son baiser, laissant sa langue jouet avec la mienne. Il me serrait avec force contre lui. Son baiser était doux et tendre. Je n’avais jamais connut quelque chose de semblable. J’étais tellement heureux. Pourtant je ne pouvais pas retenir mes larmes. Les larmes qui venaient sournoisement ce mêlaient à notre baiser lui donnant un goût amer, m‘empêchant d‘oublier qu‘il ne m‘aimait pas. Il ni fin au baiser pour plongé son regard dans le mien. Il effleurait ma joue avec douceur en récoltant les larmes avant de portait son doigt à ses lèvres pour léché mes larmes.
- Pourquoi es ce que tu pleure Jackson ?
- Promet moi que tu ne te sers pas de moi… Avant de te rencontré…Je n’ai jamais resentis quelque chose d’aussi fort pour qui que ce soit. Alors s’il te plait ne joue pas avec mon cœur. Je croyais en être dépourvu avant de croisé ton regard, durant une fraction de seconde tu as ravis mon cœur. Je n’avais jamais versé la moindre larme. Tu me rends faible. Chaqu’un de tes gestes, Chaqu’un de tes mots me rende heureux autant qu’ils peuvent me blesser. Tu tiens mon cœur entre tes mains alors s’il te plait me le serre pas aussi fort où il va exploser. Je…je t’aime tellement.
Il posait son front contre le mien me fixant le regard débordant de doute et d’interrogation.
- Je ne…te ferais plus de mal Jackson. Pardonne-moi.
Je glissai mes bras autour de son cou apposant mes lèvres sur les siennes avec douceur. Bien sur que je lui pardonne, je lui pardonnerais absolument tout. Même s’il me briser le cœur je lui pardonnerais. Je voulais juste qu’il m’aime quelques instants. Mes mains ce firent une place sous sa tunique caressant sa douce peau que j’avais si souvent voulut touchais. Je veux en embrassé chaque parcelle, y faire courir ma langue, y laissait la trace de mes dents. Un signe qu’il m’a appartenu. Ses doigts détachaient doucement ma chemise, à chaque bouton qu’il défessait ses phalanges frôlaient ma peau et ce simple contact involantaire suffisait à me rendre fou. Il lachait mes lèvres pour faire glisser les siennes le long de ma machoire jusqu’à mon oreille.
- J’ai envi de te faire l’amour Jackson.
- Tu…tu veux me baiser ?
- Non je veux que l’ont fasse l’amour.
Il ce détacha de moi à mon plus grand malheur. Es ce que je devais croire ce qu’il disait ? J’étais perdu. Il ne fit signe de le suivre avant de descendre les marches sortant de mon champs de vision. J’avais peur, mais mes jambes me portaient toutes seules. Je ne voulais pas réfléchir. Je voulais juste être dans ses bras. Qu’il me serre contre lui. Qu’il me donne l’inpression que mes sentiments son partager. J’entrai dans ma cabine, il devait être ici, la porte était ouverte alors que j’étais sur de l’avoir fermé. Mais j’avais beau le cherché du regard je ne le voyais pas. C’est il encore joué de moi ? Je sursautai lorsque deux bras venairent s’enroulé autour de mon bassin et de douces lèvres ce possaient dans ma nuque.
- J’ai bien cru que tu ne viendrais pas. Murmurait-il à mon oreille avec douceur et sensualité.
- Je l’ai bien cru moi aussi. C’est une bien mauvaise idée. Répondis-je alors que je me retrouvé dépossédais de ma chemise. Je fermais les yeux en sentant ses lèvres cde possaient entre mes deux omoplates et descendre le long de ma colonne vertébrale. Jamais en ne m’avais fait de genre de chose et c’est tellement bon. Si doux, si chaud. Il cherche à me rendre encore plus amoureux de lui. Je le sentais détaché mon pantalon le laissant glisser le long de mes cuisses. Il me poussait en avant pour me faire m’allongé sur les bureaux dos à lui. Ses mains ce glissaient entre mes fesses pour les écartaient, il allait juste me baiser rien de plus. Et je n’avais pas la force de l’en empêchais. J’allais juste lui servire de vides couilles. Je tremblais de peur. Je ne voulais pas que notre première fois ce passe de cette façon. Je ne voulais pas être baisé sur cette putain de bureau. Je me sentais soulevé du sol et me retrouvais allongé sur le lit son corps sur le mien, son regard encré au mien.
- Pourquoi tremble tu Jackson ?
- Je ne veux pas que tu me saute comme une vulgaire pute.
- Ce n’est pas ce que je veux. Je n’ai encore jamais fait « ça » avec un homme… Je ne sais pas comment faire.
- Comme lorsque tu fais l’amour à une femme. C’est la même chose. On peut faire ça face à face. Il faut que tu me prépare. Il faut lubrifier. Si…tu veux…je peux te faire comme la dermière fois. Te sucer.
- Non, tu te détends. Ce soir je m’occupe de toi. Je vais te montré que je ne me moque pas de toi. J’ai vraiment envi de toi.
- Embrasse-moi Adrien. S’il te plait serre-moi dans tes bras.
Il enroulait ses bras autour de moi, déposant ses lèvres sur les miennes. J’entrouvis les lèvres laissant et passait timidement ma langue sur ses lèvres. Je voulais l’enbrassé plus profondément encore, je voulais le sentir encore plus contre moi. Il entrouvrit à son tour les lèvres me laissant aller jouais avec sa langue. Elle était si chaude, si douce. Elle s’enroulait avec la mien, ce caressant, ce cherchant. En aurait dit qu’elles étaient faite pour danser ensemble. Je sentais son corps brûlant contre ma peau nue et je n’avais qu’une seule envi qu’il retire tout ses vêtements. Ses mains glissaient sur mon corps, elles étaient si chaude sur ma peau glacer. Il se glissait entre mes jambes me faisant bien sentir son état d’excitation. J’ai envi de lui. Je veux qu’il me pénètre. Je sentais ses doigts glisser le long de mes cuisses, ma peau semblais si sensible à cette endroit. Ses doigts était telle des lames qui laissait des cicatrices de plaisir sur mon corps. Des traces de ce qu’il ne faisait ressentir. Un de ses doigt trouva mon entré et après quelques caresses y pénétra. Je serrai les dents sous l’intrution de cette phalange. Ça faisait longtemps que personne ne n’avait fait ça, mais j’allais reprendre l’habitude. Je voulais qu’il trouve du plaisir à être en moi et peut être que sa le fera tombait amoureux de moi. Ses lèvres parsemaient mon torse de baisers brûlant. Je n’abandonnais totalement sous ses caresses. Je n’étais plus qu’un corps avide de plaisir, avide d’amour. Ses lèvres ce posaient sur les miennes alors qu’une seconde phalange ce fit une place en moi, m’arrachant un nouveau gémissement de douleur. Mais le baiser qu’il me donnait me fit vite oublier cette douleur. Sa langue ce mêler à la mienne avec douceur, tendresse, et passion. J’étais entrain de me consumer sous ses caresses. Je ne sentais m’ouvrir sous ses caresses. Je le voulais je ne voulais plus attendre. J’avais peur que lorsque minuit sonnerait la magie cesserait et que je redeviendrais le souillon qu’il déteste tant. Je ne veux pas que cela cesse. Regard moi, touche moi, ne m’abandonne pas.
- Mon amour…vient…maintenant…s’il te plait.
Je le supplier de me prendre alors qu’un autre de ses doigts avait rejoint ce qui ce trouvaient déjà en moi. Je devenais totalement fou sous ses caresses. Je voulais le sentir plus, encore plus profondément en moi.
L’entendre m’appelais de la sorte me serrais le cœur. J’avais vraiment envi de lui faire l’amour. Mais je n’étais pas amoureux de lui. Je ne pouvais pas l’être. C’est un homme, un pirate. Et pourtant j’aime le caressait, l’embrassait, l’entendre gémir. J’aime ses yeux vert débordant de désir et d’amour, j’aime ses lèvres rougit par les baisers et qui en quémandaient d’autre. Il resserrait ses bras autour de moi, et ses jambes s’enroulaient autour de mon bassin. Et je ne peu attendre plus longtemps, il fallait que je le pénètre que je me sente en lui. J’en devenais fou tellement je le désirais. J’entrais en lui, me faisant une place entre ses chaires, c’était incroyablement serré et bon, si chaud. Je vis son visage ce déformer sous la douleur. Je n’arrêtais et déposais un doux baiser sur ses lèvres. Il ouvrait les yeux me regardant avec tendresse.
- Continu sa va passer. Murmurait-il d’une voix étouffé par la douleur.
- Tu en es sur tu semble avoir vraiment mal.
- t’inquiète pas, sa va aller. Je t’aime alors c’est moins douloureux. S’il te plait ne t’arrête pas.
Je continuais de rentré en lui essayant de me pas lui faire plus de mal encore. Mais c’était peine perdu. Lorsque je fus entièrement en lui je cessais à nouveau de bouger attendant que la douleur ce dissipe un peu. Je glissais ma main entre nous deux corps pour prendre sa verge en main lui arrachant un gémissement de plaisir. Ce que je faisais me surprenait moi-même. C’était tellement bizarre de caressait le sexe d’un autre homme. Mais ce n’es pas dérangeant. Je le sentais ce détendre petit à petit sous mes caresses. Je me retirais à moitié avant de re-rentré. Sa semblais lui faire encore un peu mal, mais moins que la première fois. Il ce détendait un peu plus à Chaque caresses.
Lorsque je le vis ce cambré, la douleur remplacer par le plaisir. Il était tellement beau lorsqu’il prenait du plaisir. Je relâchais son sexe et pris son visage entre mes mains pour qu’il ouvre les yeux. J’aime voir ses yeux remplit de plaisir, de bien être. Pourquoi faisait-il s’emballais mon cœur.
- Je peux y aller Jackson ?
- Oui sa va. Vas-y.
Il me serrait plus fort contre lui, posant ses lèvres sur les miennes, j’entrouvris les lèvres laissant sa langue aller jouer avec la mienne. J’aime sa façon d’embrasser.il embrasse encore mieux qu’Alizé. Je ne devrais pas ressentir ce genre de truc.
C’était si bon d’être en lui, il était si serrait, si brûlant. Chaque contraction de ses muscles me rendait encore plus fou de lui. Et il savait en joué. J’étais persuadé que ce n’était pas la première fois qu’un homme le pénétrait. Est-ce que d’autre étaient passé avant moi ? Je ne voulais pas y pensé. Je voulais croire que j’étais le seul à pouvoir éprouvais le plaisir de le possédait. J’enfonçais mon visage dans le creux de son épaule alors qu’il m’enserrait encore plus fort entre ses bras, ses ongles s’enfonçaient dans ma chaire. C’était douloureux et jouissif à la fois. Il me rend fou. Chaque coup de rein m’arraché un gémissement de plaisir. Je me redressais pour le regardais. Là étendu sur le lit, en sueur, le visage marqué par le plaisir. Il était tellement beau. Je l’attrapais par les hanches, le prenant avec plus de force encore. Il s’accrochait aux draps criant tout son plaisir. Seigneur pourquoi faut-il qu’il soit si tentateur. Je n’avais jamais pris autant de plaisir avec Alizé. Je fixais son sexe tendu, plaqué contre son ventre. Je me surpris à trouvais ce sexe follement excitant. Je le pris en main, il était aussi brulant que son anus. Est-ce que mon sexe était aussi chaud que le sien ? Est-ce qu’il aimait me sentir en lui ? Sentir ma main sur son sexe. Je caressais son gland, faisant glisser mes doigts le long de sa verge. Je le sentis ce tendre et ce resserrait autour de moi. Et jouir entre mes doigts. Et il ne me fallut pas bien longtemps pour jouir en lui et c’était une sensation merveilleuse. Je m’écroulais sur lui à bout de force, je posais ma tête sur son torse. Son cœur bâté vraiment fort. Est-ce que c’est moi qui le fais battre de la sorte. C’est si apaisant de l’entendre battre. Il refermait ses bras autour de moi, et je fermais les yeux m’abandonnant à cette étreinte. Pourquoi faut-il que je me sente si bien dans ses bras. Ses doigts ce perdaient dans mes cheveux alors que je caressais son flan, le faisant tremblais à chaque caresse. Lorsque je sentis ses lèvres ce posaient sur mon front je redressais la tête pour le fixait. Il me regardait avec tellement de tendresse, d’amour. Pourquoi est-ce qu’il m’aimait autant alors que je ne cessé de lui faire du mal. Ses doigts glissaient sur ma joue me faisant refermait les yeux pour savourais pleinement cette caresse. Elles étaient aussi douces qu’un rayon de soleil qui vient nous réchauffer l’hiver. Je voulais que sa chaleur m’enveloppe entièrement. Je posais mon front contre le sien, en silence. Alors que mon regard accrochait à nouveau le sien. Et je ni perdais à nouveau. Laisse moi lire ce que tu ressens réellement Jackson.
- Tu as aimé ? Demandait-il d’une voix douce et tremblante comme s’il avait peur de ma réponse.
- Oui, je n’aurais jamais cru pouvoir prendre autant de plaisir un jour. C’est vraiment bon d’être en toi. Tu es si serrait et si chaud.
Il rougit à ses mots et sa me fis sourire. Il était vraiment trop mignon. Il glissait sa main dans ma nuque et ses lèvres venaient ce posé sur les miennes. Elles étaient si douces. Sa langue venait chercher la mienne et je le laissais faire participant à ce baiser. Il me rend fou ce mec. Je n’avais pas envi de me retirais. Je voulais rester en lui. Ce que je suis entrain de ressentir me terrorise mais je me regrette pas ce qui vient de ce passé entre nous. Sa à était merveilleux.
- Merci Adrien. Dort bien.
Pourquoi me dit-il merci ? Je ne veux pas réfléchir juste profité de son étreinte. De sa tendresse. Je fini par m’endormir bercé pas ses caresse.
alors que penser vous de cette première nuit d'amour ? aller petites perverse laissait des com's bisous.