Le blog de Amako
CHAPITRE 8 :
Lorsque je n’étais réveillé ce matin j’étais cher cette hommes. Je n’avais pas put couché avec lui, il avait compris, il ne m’avais forcé à rien. On avaient parler, il n’avais écouté et sa m’avais fait du bien. Mais lorsque j’était arrivé devant cher moi j’étais aussitôt retombé dans cette mer déchainé qui n’envoyais me briser sur les rochés. À chaque fois que je pongé dans son regard, j’avais le mal de mer. Il était adossé aux mur à côté de ma porte et me fixait en silence, un sourire timide sur le visage. Merde que cherche t-il à la fin. À me rendre fou.
- Bonjour Andréas. Tu va bien ? Tu t’es bien amusé hier soir ? Demandait-il d’une voix douce.
J’ouvrir la porte de cher moi sans le regardais il voulait faire ami, ami maintenant. Il aurait du y pensé avant de me sauté.
- Oui je me suis fait sauté toute la nuit. Et c’était cent fois mieux qu’avec toi.
- Andréas…
- Tu n’es pas un si bon coup que ça. C’est pour cette raison que tu ne couche jamais deux fois avec le même mec. Quand il réalise que tu baise mal ils ce casse. Tu n’es pas irrésistible Sean.
Je claqua la porte le laissant sans la moindre réaction. Je n’en peux plus j’ai besoins de m’éloignais de lui. Juste un peu où je vais craqué. J’entendais ses pas s’éloigner alors que je ne laissai glisser le long de la porte le cœur au bord de la rupture. Que faut-il que je fasse ? Comment lui faire comprendre qu’il ai entrain de me détruire. J’enfonça ma tête entre mes bras, je refusais de pleurais encore. Je ne voulais plus être faible.
Le lendemain j’avais mit une affiche sur ma porte indiquant aux locataires que je prenais deux semaines de vacances et que je ne voulais pas être dérangé. J’avais passé ses deux semaines à m’occuper à droite et à gauche, loin de la résidence. Loin de lui. Je ne l’avais pas croiser une seule fois en deux semaines. Même si je pensé souvent à lui, j’arrivé à reprendre doucement le court de ma vie. Mais je ne pourrais pas fuir continuellement. Il faudra que je l’affronte tôt où tard. Il faudra alors que nous mettions les choses aux clair. Il faudra que je lui avoue l’amour que je lui porte. Et lui que ne dira-t-il ? J’étais loin de pensé que cela arriverai aussi vite.
Aujourd’hui c’étais la fin de mes congés, je n’avais pas vraiment envi de retourné travailler mais il le fallait. J’étais entrain de déjeuner lorsque quelqu’un frappa à ma porte. Merde ils auraient put attendre un peu. Je me levai pour aller ouvrir la porte et je n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit que je me retrouva plaqué contre le mur, son corps contre le mien, ses lèvres sur les miennes.
Non, non, non. S’il te plait me fait pas ça.
Je le repoussa avec force, ses yeux accrochaient les miens me faisant tremblais. Ses yeux débordaient de tristesse. Pourquoi ? Je baissai la tête ne pouvant supporter plus longtemps ce regard qu’il m’adressait. Il voulait juste me sauté encore une fois.
- Désolé j’ai menti.
- De quoi ?
- Je n’es pas couché avec ce mec.
- Je n’ai…
- à vrai dire. Vous étiez le premier et sans nul doute le dernier. Parce que je ne veux pas que d’autres mains ce pose sur mon corps. Je me veux pas embrassé d’autre lèvres. Je ne veux pas qu’un autre homme me pénétre. Mais je ne veux pas non plus que vous me baissiez encore.
- Pourquoi ?
- Je ne suis pas une pute monsieur. Je n’écarte pas les cuisses dés que vous le désiré. Je ne suis pas une de vos salope. Vous possédiez déjà u harem. Vous n’aviez pas besoin de moi.
- Mais c’est toi que je veux. Répondait-il en m’attrapant par le bras, je sentis mon corps traversé d’une douce chaleur à ce contact. Mais je devais être fort et résisté.
- Et ce que moi je veux cela vous étiez égal.
- Bien sur que non. Dit moi…
- Alors je veux que vous m’aimiez comme je vous aime. Pas juste pour me sautais. Je voudrais que vous ne soyez qu’à moi. J’ai cru que si j’étais assez performant au lit vous resteriez à mes côté. Mais je me suis trompé. Maintenant ce que je voudrais c’est que vous quittiez mon appartement et que vous oublier tout ce qui nous concerne. Vous serrez juste un des locataire et moi le concierge.
- André s’il…
- C’est Andréas. S’il vous plait lâché moi. Arrêté de me faire souffrir. On vient de deux monde diamétralement différent. Et ses deux monde ne pourront jamais ce rejoindre. Quoi que l’on fasse rien n’évoluras alors oublier tout ce qui me concerne.
Je le poussa dehors refermant la porte sans le regardait de peur de craqué. Je posa mon front contre la porte. Je savais qu’il était toujours là. Pourquoi ne part-il pas ? Pourquoi veut il tant resté proche de moi.
- André je suis vraiment désolé. On ne ma jamais appris ce qu’était l’amour. Tu mérite d’être heureux.
Le lendemain il m’avait adressé un simple bonjour comme avant.
Le soir il était venu cherché son courrier et était reparti sans un mot de plus.
Tout était enfin redevenu comme avant.
Enfin presque.
Il ne s’affichait plus avec tout ses mecs différents. Il rentrait seul le soir et repartait seul le matin. Il ne venait plus me voire pour me dire qu’il organisé des fêtes. Il semblait c’être assagit. Combien de temps es ce que je pourrais supporté cela.
Je me suis écroulé sur le sol à bout de force alors que j’entendais ses pas s’éloigner dans le couloir. Il ni avait plus rien à dire, plus rien à faire. C’était fini avant même d’avoir commencé.