Le blog de Amako
CHAPITRE 8 :
Il ce redressa pour plongé son regard dans le mien. Je voyais de la tristesse dans son regard. Que lui arrivé t-il ? Il me caressa la joue avec douceur.
- Tu es superbe petit ange. Tu es tellement beau que parfois tu parais si irréel.
- Qu’es ce qui t’arrive André en dirait que quelque chose te préoccupe.
Il posa son front contre le mien mes doigts ce perdirent dans ses cheveux avec douceur.
- Ma femme…je sais pas comment elle à fait mais elle à découvert notre liaison et elle menace de divorcé si je ne cesse pas tout de suite de couché avec toi.
Je me figeai à cette nouvelle. Sa devais bien arriver depuis le temps que sa nous pendais au nez. Mais ne dire que je ne pourrais plus jamais être dans ses bras. Ne plus jamais pouvoir faire l’amour avec lui et connaitre ses moments de tendresse.
- Ah.
- Il faut que l’ont arrête. Si elle demande le divorce je perds tous. Je suis désolé.
- Tu n’as pas à l’être je comprends et c’était dit dés le début.
Je me pouvais retenir mes larmes. La seule personne qui m’aime un peu venais de me quitté et c’était douloureux. Il plongea à nouveau son regard dans le mien et je pus voire que lui aussi pleurait.
- Pourquoi pleures-tu Gillian tu ne m’aime pas. Cela ne devrais pas te faire pleurait.
- Ne dit pas ça. Répondis-je en l’enlaçant à nouveau. Le serrant aussi fort que je le pus contre moi.
- Tu crois quoi André. Je t’aime même si je ne t’aime pas comme un petit ami. Je t’aime quand même. J’aime quand en fait l’amour. Quand on passe du temps ensemble. Je ne veux pas te perdre.
- Je suis désolé bel ange.
- André.
- Oui ?
- Fait moi l’amour s’il te plait. Juste une dernière fois. S’il te plait.
- Pas ici. Pas comme ça. Ca doit être inoubliable. On va réserver la plus belle suite de cette hôtel, on pas diner aux chandelles, avec du champagne et on ferra l’amour encore et encore. Je veux te gardé dans mes bras jusqu’au matin. Et ensuite se serra la fin du rêve.
Je pris à nouveau ses lèvres l’embrassant avec désespoir seul lui me donné la force de continué. Parce qu’il était le seul à m’aimé.
Comme il l’avait dit en avait pris la plus belle suite de l’hôtel en avaient diné aux chandelles parlant de chose et d’autre. On avait pris un douche ensemble et à présent en étaient allongé sur le lit, totalement nue nous embrassons avec tendresse ne voulant pas précipité les choses et profité de chaque petites secondes qu’il nous resté à passé ensemble. Il ce glissa entre mes cuisses sans lâché mes lèvres. Je caressé son corps voulant graver dans ma mémoire chaque courbe de son corps. J’avais l’impression d’être un jeune puceau qui aller connaitre sa première. Celle là serait cent fois mieux que la première fois qu’un homme m’avait prit. Sans amour et sans tendresse un coup vite fait juste pour oublier que Bruce était à une autre personne que moi. Il relacha mes lèvres pour aller embrassé mon coup, y fessant glisser sa langue me rendant totalement fou de désir alors que je sentais son sexe frotter contre le mien. Je frissonné entre ses bras. Il me rend totalement fou, à Chaqu’un de ses caresse de ses baiser. C’est un amant incroyable. Et il allait m’échapper. Il me prépara avec douceur et amour avant de me pénétré. Et c’était si bon. On à fait l’amour toute la nuit durant, il m’a pris comme jamais encore et je lui ai fait l’amour comme jamais je ne l’avais fait à qui que ce soit. Et on avait fini par s’endormir enlacé priant pour que cette nuit ne prenne jamais fin. Mais tout à une fin en ce monde.
La première chose que je vis en ouvrant les yeux au petit matin ce fut le visage d’André qui me fixait en souriant. Mais il y avait tellement de tristesse dans son regard. Je fermai les yeux frissonnant de bien être lorsqu’il frôla ma joue de ses doigts. Ses geste de tendresse aller tellement me manqué. J’avais encore envi de pleurait. Je ne voulais pas le perdre.
- Tu ressemble encore plus à un ange lorsque tu dors. Je n’ai aucune envi de te quitté Gillian. Je t’aime mais j’ai une femme, des enfants. Et toi tu en aime un autre.
- Promet moi juste que l’ont pourra rester ami. Que tu continueras à me regardais comme tu le fait, à me prendre dans tes bras. De resté mon ami.
- Je serrais incapable de me passé de ça. Moi aussi j’en ai besoin. C’est comme une drogue. Ne plus pouvoir t’embrassé, ne plus me sentir en toi, te sentir en moi. Cette idée me rend fou. Elle m’est insupportable.
Je me blotti dans ses bras me voulant pas les quitté. J’avais encore envi de pleurais mais je devais rester fort et pensé à son bonheur avant tout.
- Tu dois être heureux c’est tout ce qui conte André. Tu aime ta femme et tes enfants. Il vous faut juste retrouver la flamme du début.
- Je sais mais ça va tout de même me manqué de me plus pouvoir te sentir nue contre moi.
- Alors profitant du temps qu’il nous reste.
Je l’embrassai à nouveau me délectant du gout de ses lèvres m’allongeant sur lui. Je voulais lui faire l’amour encore juste une demiere fois avant de ce dire au revoir.